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Grade 3 - French Immersion Language Arts and Literature

French Immersion Language Arts and LiteratureGrades 03CSP ID: 47F096311DB34B89849E166B5DB3BB25Standards: 278

Standards

Showing 278 of 278 standards.

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Depth 0

French Immersion Language Arts and Literature

3.A

Depth 0

Oral Communication: Oral comprehension and expression promote language development, positive relationships, and collaboration.

3.B

Depth 0

Vocabulary: Understanding the meaning and formation of words facilitates oral communication, reading, and writing.

3.C

Depth 0

Phonics: Understanding the relationships between phonemes and letters fosters the development of oral language, reading, and writing.

3.D

Depth 0

Text Organization: Different text genres are used to understand and express ideas, information, and perspectives about the world.

3.E

Depth 0

Text Comprehension: Understanding of ideas, perspectives, and cultures in texts is supported through the application of reading strategies and processes.

3.F

Depth 0

Reading Fluency: Reading fluency development promotes oral and written comprehension and expression.

3.G

Depth 0

Text Production: Text production and creativity allow for the sharing of ideas and information in various contexts.

3.H

Depth 0

Grammar: The understanding and application of grammar promotes effective communication of ideas when speaking and writing.

3.A.1

Depth 1

Students demonstrate active listening behaviours and determine important ideas in authentic oral communication situations, on various topics encountered in the learning environment. Students interact with each other orally in French, on various topics encountered in the learning environment, in authentic spontaneous and prepared communication situations.

3.B.1

Depth 1

Students recognize phonics, morphemes, and spelling patterns to understand the meaning of new words and to express themselves.

3.C.1

Depth 1

Students apply grapheme-phoneme correspondences to read and write texts.

3.D.1

Depth 1

Students associate features and structures with fiction and non-fiction text types.

3.E.1

Depth 1

Students use reading strategies and demonstrate understanding of fiction and non-fiction texts.

3.F.1

Depth 1

Reading Fluency: Reading fluency development promotes oral and written comprehension and expression. Students read texts at their independent reading level with accuracy and experiment with prosodic elements.

3.G.1

Depth 1

Students use the writing process to express their ideas in the production and sharing of fiction and non-fiction texts, considering communication purpose and the target audience.

3.H.1

Depth 1

Students demonstrate an understanding of some elements of sentence grammar and apply them to derive meaning and form basic sentences in context.

3.A.1.1

Depth 2

Knowledge

3.A.1.2

Depth 2

Understanding

2.A.1.3

Depth 2

Skills & Procedures

3.B.1.1

Depth 2

Knowledge

3.B.1.2

Depth 2

Understanding

3.B.1.3

Depth 2

Skills & Procedures

3.C.1.1

Depth 2

Knowledge

3.C.1.2

Depth 2

Understanding

3.C.1.3

Depth 2

Skills & Procedures

3.D.1.1

Depth 2

Knowledge

3.D.1.2

Depth 2

Understanding

3.D.1.3

Depth 2

Skills & Procedures

3.E.1.1

Depth 2

Knowledge

3.E.1.2

Depth 2

Understanding

3.E.1.3

Depth 2

Skills & Procedures

3.F.1.1

Depth 2

Knowledge

3.F.1.2

Depth 2

Understanding

3.F.1.3

Depth 2

Skills & Procedures

3.G.1.1

Depth 2

Knowledge

3.G.1.2

Depth 2

Understanding

3.G.1.3

Depth 2

Skills & Procedures

3.H.1.1

Depth 2

Knowledge

3.H.1.2

Depth 2

Understanding

3.H.1.3

Depth 2

Skills & Procedures

3.A.1.1.a

Depth 3

La compréhension orale est favorisée par des comportements d’écoute active qui comprennent : demander des clarifications ou apporter des commentaires sur le sujet, être attentif et suivre le fil des idées et noter un bris de compréhension.

3.A.1.1.b

Depth 3

La production orale permet de : s’exprimer, décrire, raconter et se divertir.

3.A.1.1.c

Depth 3

La production orale peut être appuyée par la prosodie, le langage non verbal et les supports visuels ou sonores.

3.A.1.1.d

Depth 3

La prise de risque permet l’apprentissage à partir des erreurs produites à l’oral.

3.A.1.1.e

Depth 3

Des stratégies de dépannage permettent de s’exprimer, lorsqu’un mot ne fait pas encore partie de son vocabulaire, p. ex. : l’utilisation d’un mot avec une signification similaire, l’utilisation du langage non verbal, l’utilisation d’une image et l’explication du sens du mot.

3.A.1.1.f

Depth 3

Les critères d’une production orale peuvent porter sur : les idées communiquées (le contenu) et la façon dont les idées sont communiquées (la forme).

3.A.1.1.g

Depth 3

La conversation comprend (des conventions) : la présentation des participants, des formules qui permettent l’amorce (p. ex. : parlons-en, que penses-tu, et toi?) et le maintien (p. ex. : aussi, par exemple, ensuite) de la conversation et un langage collaboratif.

3.A.1.1.h

Depth 3

Le cercle de la parole implique que tous les participants sont d’importance égale.

3.A.1.1.i

Depth 3

Le respect du partage dans le cercle de la parole peut se manifester par des comportements, p. ex. : le tour de parole offert à chacun, l’écoute active et l’utilisation d’un objet pour indiquer le tour de parole.

3.A.1.1.j

Depth 3

Certaines traditions orales permettent de comprendre des messages provenant de diverses communautés des Premières Nations, des Métis et des Inuits.

3.A.1.1.k

Depth 3

Les traditions orales de la francophonie transmettent des façons de vivre qui sont diverses (p. ex. : la légende et le rébus).

3.A.1.1.l

Depth 3

La francophonie influence les activités culturelles vécues en immersion française, p. ex. : des produits médiatiques, des pièces de théâtre, de la musique et des traditions.

3.A.1.1.m

Depth 3

Le français est l’une des deux langues officielles du Canada.

3.A.1.1.n

Depth 3

L’apprentissage du français permet de participer à une communauté qui parle français.

3.A.1.2.a

Depth 3

L’écoute active permet d’intervenir afin de faciliter la compréhension des messages.

3.A.1.2.b

Depth 3

Les habiletés de production orale se développent à travers des interactions et nécessitent une prise de risque.

3.A.1.2.c

Depth 3

Les interactions peuvent permettre des conversations collaboratives sur des sujets variés.

3.A.1.2.d

Depth 3

La participation aux traditions orales permet de s’ouvrir à diverses communautés.

3.A.1.2.e

Depth 3

La participation aux activités culturelles en français contribue à connaitre la francophonie.

3.A.1.3.a

Depth 3

Décrire sa compréhension des idées importantes des messages en les redisant dans ses mots.

3.A.1.3.b

Depth 3

Privilégier des comportements d’écoute active dans divers contextes.

3.A.1.3.c

Depth 3

Déterminer les bris dans la compréhension du fil des idées et poser des questions de clarification pour les résoudre.

3.A.1.3.d

Depth 3

Participer en français à des activités et à des interactions pour accomplir divers buts.

3.A.1.3.e

Depth 3

Démontrer la prise de risque en parlant en français avec les pairs dans les situations d’apprentissage et sociales.

3.A.1.3.f

Depth 3

S’exercer à utiliser la prosodie, le langage non verbal, les supports visuels ou sonores et des stratégies de dépannage pour favoriser la compréhension et l’expression du message.

3.A.1.3.g

Depth 3

Se référer à des critères qui appuient la production orale.

3.A.1.3.h

Depth 3

Mettre en pratique des conventions propres au contexte lors de conversations sur divers sujets, y compris lors du cercle de la parole.

3.A.1.3.i

Depth 3

Prendre en compte des contributions et des sentiments des autres lors de conversations.

3.A.1.3.j

Depth 3

Discuter des messages exprimés par les traditions orales provenant des communautés des Premières Nations, des Métis ou des Inuits et de la francophonie.

3.A.1.3.k

Depth 3

Expérimenter des activités culturelles de la francophonie.

3.A.1.3.l

Depth 3

Discuter des préférences par rapport aux activités culturelles de la francophonie.

3.A.1.3.m

Depth 3

Reconnaitre l’influence des expériences vécues en français sur le développement de soi.

3.B.1.1.a

Depth 3

Le morphème est la plus petite unité porteuse de sens dans un mot, p. ex. im et possible dans impossible.

3.B.1.1.b

Depth 3

Le préfixe est le morphème placé devant la racine dans la structure d'un mot, p. ex. : dé- : défaire, in- : instable et re- : redire.

3.B.1.1.c

Depth 3

Des synonymes sont des mots qui ont un sens semblable, p. ex. bon et déliceux.

3.B.1.1.d

Depth 3

Des antonymes sont des mots qui ont un sens opposé, p. ex. faire et défaire.

3.B.1.1.e

Depth 3

De nouveaux mots et expressions spécifiquesà certaines matières (niveau 3) requièrent de la recherche, des discussions ou des explications.

3.B.1.1.f

Depth 3

Des mots similaires en français et en anglais (ou autre langue connue) peuvent donner des indices sur le sens de nouveaux mots en français.

3.B.1.1.g

Depth 3

Certains mots ont une prononciation pareille ou semblable, mais un sens différent, y compris : son, sont, et, est et ou, où.

3.B.1.1.h

Depth 3

L’utilisation de nouveaux mots en facilite la rétention.

3.B.1.1.i

Depth 3

L’orthographe de certains mots qui ont une prononciation pareille ou semblable peut différer.

3.B.1.1.j

Depth 3

Les régularités orthographiques sont des structures constantes dans la graphie des mots, y compris : le remplacement du n?par un m?devant les lettres p, b et m et lorsque le mot contient une double consonne, on ne met pas d’accent, p. ex. poubelle, roulette.

3.B.1.1.k

Depth 3

Un morphème commun s’écrit de la même façon d’un mot à l’autre.

3.B.1.1.l

Depth 3

L’ordre alphabétique aide à trouver des mots dans un outil de référence.

3.B.1.2.a

Depth 3

Le développement du vocabulaire permet d’apprendre, de participer aux conversations et de s’amuser avec ses pairs en français.

3.B.1.2.b

Depth 3

La connaissance des morphèmes et des régularités orthographiques facilite la fluidité en lecture et en écriture.

3.B.1.3.a

Depth 3

Faire des liens de forme et de sens entre des mots, y compris des synonymes, des antonymes et des mots ayant des morphèmes communs.

3.B.1.3.b

Depth 3

Discuter du sens et expérimenter l’utilisation, en contexte, d’un nombre croissant de nouveaux mots et d’expressions utiles dans des situations variées, y compris des mots de niveaux 1, 2 et 3.

3.B.1.3.c

Depth 3

Discuter du sens de mots fréquents ayant la même prononciation.

3.B.1.3.d

Depth 3

Discuter du sens des mots qui sont similaires en français et en anglais (ou autre langue connue).

3.B.1.3.e

Depth 3

Explorer des outils de référence pour vérifier le sens des mots.

3.B.1.3.f

Depth 3

Mettre en pratique ses connaissances de la phonographie, des régularités orthographiques et des morphèmes pour lire et écrire des mots, en contexte.

3.B.1.3.g

Depth 3

Discuter de l’orthographe de certains mots qui ont une prononciation pareille ou semblable.

3.B.1.3.h

Depth 3

Employer des outils de référence en s’appuyant sur l’ordre alphabétique pour vérifier l’écriture des mots.

3.C.1.1.a

Depth 3

Le rôle de certains graphèmes muets à la fin des mots est de laisser une trace qui les lie à d’autres mots de la même famille, p. ex. : -b : plomb/plombier, -d : grand/grandeur et -p : galop/galoper.

3.C.1.1.b

Depth 3

La prononciation des graphèmes est régulière et souvent indépendante des lettres avoisinantes, p. ex. le b, le d et le f.

3.C.1.1.c

Depth 3

Certaines lettres peuvent se prononcer de différentes façons selon les lettres qui les entourent, y compris : g dur/doux, c dur/doux, s entre deux lettres voyelles, t suivi de ion, ien, ia, ie (p. ex. : récréation, patient, initiales et littératie) et h muet ou aspiré en début de mot (p. ex. : homme et haut).

3.C.1.1.d

Depth 3

Certains graphèmes complexes se prononcent d’une façon particulière, y compris : ien, ieu, iel/ielle, ion, oi/oin, oua, ui, ill/ille, ail/aille, eil/eille, euil/euille, ouille et ueil/ueille.

3.C.1.1.e

Depth 3

D’autres graphèmes complexes surviennent rarement dans l’orthographe des mots français, y compris : ei, œu, ouin, yn, ein et th.

3.C.1.1.f

Depth 3

La syllabe écrite, peu fréquente, peut être une suite de lettres consonnes (C) et voyelles (V) lues sans interruption, p. ex. CVVV, CVVC, CCVC, CCVVC.

3.C.1.2.a

Depth 3

La maitrise des correspondances graphèmes-phonèmes facilite la lecture et la graphie des mots nouveaux ou déjà rencontrés à l’oral ou à l’écrit.

3.C.1.3.a

Depth 3

Généraliser les régularités dans les correspondances graphèmes-phonèmes lors de la lecture et de l’écriture.

3.C.1.3.b

Depth 3

Décoder des mots multisyllabiques connus et inconnus.

3.C.1.3.c

Depth 3

Décoder les lettres dont la prononciation dépend des lettres avoisinantes ou d’un signe orthographique.

3.D.1.1.a

Depth 3

L’intention de communication est la raison pour laquelle l’émetteur communique son message.

3.D.1.1.b

Depth 3

Le public cible est celui à qui s’adresse un texte.

3.D.1.1.c

Depth 3

Les textes qui partagent une intention de communication sont regroupés en types, p. ex. les textes littéraires : de type narratif, de type poétique et de type dialogal.

3.D.1.1.d

Depth 3

Les caractéristiques des textes de type narratif comprennent : des personnages, des lieux, des actions et un problème (intrigue).

3.D.1.1.e

Depth 3

Le narrateur est celui qui raconte l’histoire dans un texte narratif.

3.D.1.1.f

Depth 3

Les textes de type narratif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. le miniroman et la légende.

3.D.1.1.g

Depth 3

Les caractéristiques des textes de type poétique comprennent : des refrains, la répétition de sons, de syllabes ou de mots et des rimes.

3.D.1.1.h

Depth 3

Les textes de type poétique peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. le rébus.

3.D.1.1.i

Depth 3

Les caractéristiques des textes de type dialogal comprennent la présence des tirets et la bulle (phylactère).

3.D.1.1.j

Depth 3

Les textes de type dialogal peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : le théâtre de lecteur, le cercle de la parole et la bande dessinée.

3.D.1.1.k

Depth 3

L’intention de communication des textes courants de type descriptif est de décrire un être vivant, un objet, un lieu ou un évènement.

3.D.1.1.l

Depth 3

Les caractéristiques des textes de type descriptif comprennent : un sujet, de l’information présentée en catégories et des détails.

3.D.1.1.m

Depth 3

Les textes de type descriptif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : une petite annonce, des directives et une invitation.

3.D.1.1.n

Depth 3

La structure de textes de type narratif comprend les étapes suivantes : la situation initiale, qui est la présentation de ce qui se passe, l’élément déclencheur, qui est le moment où le problème survient, le développement, qui est la succession des actions et le dénouement, qui met fin au problème.

3.D.1.1.o

Depth 3

La structure de textes de type descriptif comprend : une présentation du sujet (l’introduction), des idées et des détails (le développement) et une phrase qui résume l’information (la conclusion).

3.D.1.2.a

Depth 3

Les caractéristiques de certains textes numériques ou non numériques donnent des indices sur le type de texte, l’intention de communication et le public cible.

3.D.1.2.b

Depth 3

La structure d’un texte est la manière dont un texte est organisé et influence la compréhension et la production.

3.D.1.3.a

Depth 3

Discuter de l’intention de communication et du public cible de divers textes.

3.D.1.3.b

Depth 3

Discerner des textes de types narratif, poétique, dialogal et descriptif.

3.D.1.3.c

Depth 3

Repérer des caractéristiques présentes dans des textes de type narratif.

3.D.1.3.d

Depth 3

Repérer des caractéristiques présentes dans des textes de type poétique.

3.D.1.3.e

Depth 3

Repérer des caractéristiques présentes dans des textes de type dialogal.

3.D.1.3.f

Depth 3

Repérer des caractéristiques présentes dans des textes de type descriptif.

3.D.1.3.g

Depth 3

Repérer les étapes de la structure de textes de type narratif.

3.D.1.3.h

Depth 3

Repérer les parties de la structure de textes de type descriptif.

3.E.1.1.a

Depth 3

Les stratégies qui appuient la prélecture comprennent : l’intention de lecture, le survol, la prédiction et le repérage de mots-clés.

3.E.1.1.b

Depth 3

La stratégie du repérage de mots-clés consiste à trouver les mots qui donnent de l’information importante sur le contenu du texte (p. ex. : les noms propres, des mots qui se répètent, les noms, les verbes).

3.E.1.1.c

Depth 3

La lecture est appuyée par des stratégies de compréhension qui permettent de suivre le fil des idées, y compris : la consultation de l’information explicite (écrite et visuelle), la visualisation, le questionnement, le recours aux connaissances antérieures et aux expériences personnelles, la révision ou la confirmation des prédictions, le rappel et la relecture.

3.E.1.1.d

Depth 3

La stratégie de relecture consiste à lire le texte plus d’une fois afin d’en approfondir la compréhension et de trouver l’information recherchée.

3.E.1.1.e

Depth 3

L’organisateur graphique est un outil qui permet de présenter l’information ou les idées sous forme de schéma.

3.E.1.1.f

Depth 3

Des réactions qui impliquent des sentiments, des émotions ou des pensées sont possibles tout au long du processus de lecture.

3.E.1.1.g

Depth 3

Les liens qu’un récepteur fait avec le texte influencent sa motivation à lire.

3.E.1.1.h

Depth 3

Les textes de la francophonie peuvent refléter le vécu d’un émetteur francophone.

3.E.1.1.i

Depth 3

Les textes de la francophonie proviennent d’émetteurs d’origines variées (une pluralité) qui communiquent en français.

3.E.1.2.a

Depth 3

Les stratégies de prélecture et de lecture favorisent la compréhension des textes.

3.E.1.2.b

Depth 3

Le récepteur peut réagir favorablement aux textes qui rejoignent ses intérêts ou ses expériences et des connaissances qui ressemblent aux siennes.

3.E.1.3.a

Depth 3

Redire dans ses mots les idées importantes de divers textes littéraires et courants dont le contenu est adapté au niveau scolaire.

3.E.1.3.b

Depth 3

Employer des stratégies qui permettent de suivre le fil des idées, de noter un bris dans sa compréhension et de répondre à ses besoins d’information.

3.E.1.3.c

Depth 3

Discerner l’information explicite et les mots-clés qui permettent de faire ressortir les idées importantes du texte.

3.E.1.3.d

Depth 3

Établir l’ordre des idées et la structure de textes à l’aide d’organisateurs graphiques.

3.E.1.3.e

Depth 3

Faire des liens entre ses connaissances ou expériences antérieures et le texte.

3.E.1.3.f

Depth 3

Verbaliser des liens entre son vécu et divers textes, y compris des textes qui proviennent de la francophonie et des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.

3.E.1.3.g

Depth 3

Verbaliser les raisons qui motivent ses choix de textes.

3.F.1.1.a

Depth 3

La quantité de mots reconnus automatiquement augmente avec un entrainement régulier.

3.F.1.1.b

Depth 3

La fluidité en lecture comprend : l’automaticité dans la reconnaissance de mots, la précision, la prosodie.

3.F.1.1.c

Depth 3

Les composantes de la prosodie qui favorisent la lecture expressive comprennent : les pauses, le rythme et l’intonation.

3.F.1.1.d

Depth 3

Des lecteurs modèles utilisent parfois des voix différentes pour différencier le narrateur et les personnages.

3.F.1.1.e

Depth 3

Les méprises faites lors de la lecture nuisent à la compréhension.

3.F.1.2.a

Depth 3

L’entrainement dans la reconnaissance des mots fréquents et du décodage facilite le développement d’automatismes en lecture.

3.F.1.2.b

Depth 3

La fluidité en lecture s’exprime par la capacité à lire un texte avec expression et précision.

3.F.1.3.a

Depth 3

Lire avec précision et comprendre 300 des mots les plus fréquents (y compris ceux appris en 1re et 2e année) dans des textes.

3.F.1.3.b

Depth 3

Décoder de nouveaux mots avec une certaine aisance.

3.F.1.3.c

Depth 3

S’exercer à incorporer des composantes de la prosodie lors de la lecture de divers textes à son niveau de lecture autonome.

3.F.1.3.d

Depth 3

Prendre conscience des méprises lors de la lecture.

3.F.1.3.e

Depth 3

S’inspirer de lecteurs modèles lors de la lecture à voix haute.

3.G.1.1.a

Depth 3

La génération des idées et des détails est appuyée par : le remue-méninge, la discussion avec ses pairs et la recherche d’information.

3.G.1.1.b

Depth 3

La génération d’idées est influencée par l’intention de communication et le public cible.

3.G.1.1.c

Depth 3

Le processus d’écriture comprend la : planification, mise en texte, révision, correction et publication.

3.G.1.1.d

Depth 3

L’organisateur graphique est un outil de planification qui appuie l’organisation des idées.

3.G.1.1.e

Depth 3

La mise en texte est la rédaction d’une ébauche qui découle de la planification et consiste en le développement des idées et la formulation d’énoncés.

3.G.1.1.f

Depth 3

La révision consiste à relire son texte dans le but de l’améliorer, y compris le choix de mots et le développement des idées à l’aide de détails pertinents.

3.G.1.1.g

Depth 3

La correction permet d’apporter des modifications au texte pour améliorer : l'orthographe des mots, la construction des phrases, la ponctuation, les accords et la conjugaison des verbes.

3.G.1.1.h

Depth 3

Des outils de référence numériques et non numériques permettent d’apporter des corrections au texte.

3.G.1.1.i

Depth 3

La rétroaction permet d’améliorer son texte.

3.G.1.1.j

Depth 3

La publication est la création du produit final qui contient toutes les modifications apportées lors des étapes de révision et de correction.

3.G.1.1.k

Depth 3

Le partage d’un texte peut se faire sous forme : d’une présentation orale, d’un affichage dans le milieu immédiat ou la communauté et d’un affichage de façon numérique.

3.G.1.1.l

Depth 3

La rime permet de créer des effets sonores dans les textes.

3.G.1.1.m

Depth 3

Une rime exige au moins deux mots, groupes de mots ou phrases qui se terminent par le même son.

3.G.1.1.n

Depth 3

Les poèmes peuvent contenir des rimes.

3.G.1.1.o

Depth 3

La source d’une information peut être une personne qui a été témoin ou qui a entendu parler d’un évènement.

3.G.1.1.p

Depth 3

L’information peut provenir de sources variées, p. ex. des : ressources numériques, membres de la francophonie, Ainés, Gardiens du savoir, textes produits par des Premières Nations, des Métis ou des Inuits, comprenant des référents culturels, p. ex. des comptes d’hiver, des pétroglyphes ou des pictogrammes et textes, y compris ceux du monde naturel.

3.G.1.1.q

Depth 3

Le processus de recherche d’information comprend de trouver, d’organiser, de noter et de communiquer de l’information.

3.G.1.1.r

Depth 3

L’utilisation d’outils numériques peut être facilitée par la posture et la méthode de frappe.

3.G.1.1.s

Depth 3

L’écriture en lettres attachées est une manière de former et de lier les lettres qui favorise la fluidité.

3.G.1.2.a

Depth 3

La génération d’idées appuie le processus d’écriture et la pensée créative.

3.G.1.2.b

Depth 3

Le processus d’écriture est une démarche individuelle ou collective qui s’appuie sur les connaissances de l’organisation et des types de textes.

3.G.1.2.c

Depth 3

Le partage d’un texte permet de souligner et de mettre en valeur les progrès dans l’apprentissage de la langue française.

3.G.1.2.d

Depth 3

Les rimes produisent des jeux de sonorité et enrichissent les chansons, les comptines et les poèmes.

3.G.1.2.e

Depth 3

La recherche d’information fournit une occasion de trouver des renseignements sur un sujet précis et alimente les connaissances d’un apprenant.

3.G.1.2.f

Depth 3

La fluidité en écriture est favorisée par l’entrainement à l’utilisation d’outils numériques ou non numériques.

3.G.1.3.a

Depth 3

Mettre en œuvre divers moyens de générer des idées importantes et des détails en lien avec le sujet.

3.G.1.3.b

Depth 3

Mettre en œuvre toutes les étapes du processus d’écriture dans la production de textes littéraires et courants.

3.G.1.3.c

Depth 3

Employer des organisateurs graphiques pour planifier et organiser les idées.

3.G.1.3.d

Depth 3

S’exercer à ajouter des détails pour développer des idées.

3.G.1.3.e

Depth 3

S’exercer à ajouter des détails pour développer des idées.

3.G.1.3.f

Depth 3

Relire l’ébauche et faire appel à des pairs pour apporter des modifications qui contribuent à développer et à clarifier les idées.

3.G.1.3.g

Depth 3

Améliorer des textes en tenant compte de l’intention de communication, du public cible et de la rétroaction.

3.G.1.3.h

Depth 3

Faire appel à ses connaissances de l’orthographe et de la grammaire de la phrase pour apporter des corrections au texte.

3.G.1.3.i

Depth 3

Utiliser des outils de référence numériques et non numériques pour apporter des modifications et des corrections au texte.

3.G.1.3.j

Depth 3

Préparer une version de publication du texte qui tient compte de l’apparence visuelle et de la lisibilité.

3.G.1.3.k

Depth 3

Partager et célébrer les textes produits.

3.G.1.3.l

Depth 3

Reconnaitre l’influence de la motivation sur son propre développement langagier.

3.G.1.3.m

Depth 3

S’exercer à produire des textes qui contiennent des rimes.

3.G.1.3.n

Depth 3

Poser des questions pertinentes par rapport au sujet choisi pour orienter sa recherche d’information.

3.G.1.3.o

Depth 3

Consulter des sources d’information en français.

3.G.1.3.p

Depth 3

Trier et noter les sources et l’information retenues.

3.G.1.3.q

Depth 3

Faire des liens entre les connaissances antérieures et l’information recherchée

3.G.1.3.r

Depth 3

Faire des liens entre les lettres majuscules et minuscules de formats script et attachées.

3.G.1.3.s

Depth 3

S’exercer à utiliser une méthode de frappe et une posture efficaces lors de l’utilisation d’outils numériques.

3.G.1.3.t

Depth 3

Explorer des stratégies qui développent une fluidité pour la production de textes.

3.H.1.1.a

Depth 3

La phrase de base contient au moins deux constituants, soit un sujet formé d’un groupe nominal suivi d’un prédicat formé d’un groupe verbal, p. ex. Le chaton boit du lait.

3.H.1.1.b

Depth 3

Le groupe nominal (GN) est formé de mots dont le nom est le noyau.

3.H.1.1.c

Depth 3

Le groupe nominal peut remplir le rôle (la fonction) de sujet de la phrase.

3.H.1.1.d

Depth 3

Le sujet de la phrase indique de qui ou de quoi parle la phrase.

3.H.1.1.e

Depth 3

Le groupe verbal (GV) est formé de mots dont le verbe est le noyau, parfois suivi de mots qui le précisent.

3.H.1.1.f

Depth 3

Le groupe verbal remplit le rôle (la fonction) de prédicat et indique ce qui est dit à propos du sujet.

3.H.1.1.g

Depth 3

La phrase de base est de type déclaratif et de forme positive.

3.H.1.1.h

Depth 3

La phrase peut être de forme : positive, lorsqu’elle est une affirmation et négative, lorsqu’elle contient des mots qui expriment la négation, y compris ne pas, n’ pas.

3.H.1.1.i

Depth 3

La phrase peut être de type : déclaratif, lorsqu’elle énonce un fait, donne de l’information ou une opinion, interrogatif, lorsqu’elle pose une question et exclamatif, lorsqu’elle exprime une émotion ou un sentiment.

3.H.1.1.j

Depth 3

La phrase de type déclaratif se termine par un point.

3.H.1.1.k

Depth 3

La phrase de type interrogatif se termine par un point d’interrogation.

3.H.1.1.l

Depth 3

La phrase de type exclamatif se termine par un point d’exclamation.

3.H.1.1.m

Depth 3

La virgule sert à séparer des mots dans une phrase.

3.H.1.1.n

Depth 3

L’apostrophe remplace l’espace et la voyelle finale d’un mot devant une voyelle ou un h muet.

3.H.1.1.o

Depth 3

Les classes de mots variables comprennent : le déterminant, le nom, le verbe, l’adjectif et le pronom personnel.

3.H.1.1.p

Depth 3

Certains déterminants indiquent la possession, y compris : ma, ton, ses et nos.

3.H.1.1.q

Depth 3

Le genre d’un mot variable est féminin ou masculin.

3.H.1.1.r

Depth 3

Le nombre d’un mot variable est singulier ou pluriel.

3.H.1.1.s

Depth 3

Le déterminant accompagne le nom et en reçoit son genre et son nombre.

3.H.1.1.t

Depth 3

Le nom commun a généralement un genre fixe et varie en nombre.

3.H.1.1.u

Depth 3

L’adjectif décrit le nom et en reçoit son genre et son nombre.

3.H.1.1.v

Depth 3

Le pronom prend généralement la place d’un mot ou d’un groupe de mots dans une phrase.

3.H.1.1.w

Depth 3

Le pronom prend le genre et le nombre du mot ou du groupe de mots qu’il remplace.

3.H.1.1.x

Depth 3

Les pronoms personnels au singulier sont : je, tu et elle, il, on.

3.H.1.1.y

Depth 3

Les pronoms personnels au pluriel sont : nous, vous et elles, ils.

3.H.1.1.z

Depth 3

Dans la langue parlée, le pronom personnel on est souvent synonyme de nous.

3.H.1.1.aa

Depth 3

Le déterminant, l’adjectif et le verbe sont des receveurs d’accord.

3.H.1.1.ab

Depth 3

Le nom et le pronom sont donneurs d’accord.

3.H.1.1.ac

Depth 3

L’ajout d’un s à la fin d’un nom ou d’un adjectif au singulier est la règle générale du pluriel.

3.H.1.1.ad

Depth 3

L’ajout d’un e à la fin de certains noms ou adjectifs au masculin est la règle générale du féminin.

3.H.1.1.ae

Depth 3

Le genre du mot influence les accords dans plusieurs langues, mais ne s’applique pas en anglais.

3.H.1.1.af

Depth 3

Le verbe est formé de deux parties, le radical et la terminaison, p. ex. man-ges, aim-ez.

3.H.1.1.ag

Depth 3

La racine du verbe s’appelle le radical.

3.H.1.1.ah

Depth 3

Les verbes réguliers sont ceux dont le radical ne change pas lorsqu’ils sont conjugués.

3.H.1.1.ai

Depth 3

La plupart des verbes qui se terminent en er (à l’infinitif) sont réguliers, p. ex. aimer, manger et parler.

3.H.1.1.aj

Depth 3

Les verbes irréguliers sont ceux dont le radical change lorsqu’ils sont conjugués, y compris avoir,?être,?finir, dire?et aller.

3.H.1.1.ak

Depth 3

Les verbes avoir et?être peuvent accompagner un autre verbe, p. ex. il est allé, j’ai mangé.

3.H.1.1.al

Depth 3

Le verbe exprime une action ou un état du sujet (une manière d’être du sujet).

3.H.1.1.am

Depth 3

Le verbe d’action exprime une action faite par un sujet.

3.H.1.1.an

Depth 3

Le verbe au présent indique une action ou un état qui se passe en ce moment.

3.H.1.1.ao

Depth 3

Le verbe au passé indique une action ou un état qui a déjà eu lieu.

3.H.1.1.ap

Depth 3

Le verbe au futur indique une action ou un état à venir.

3.H.1.1.aq

Depth 3

Des verbes modèles sont des verbes qui servent d’exemple pour conjuguer d’autres verbes.

3.H.1.2.a

Depth 3

La grammaire de la phrase permet d’établir des liens entre les mots, les groupes de mots et les constituants de la phrase et de comprendre leur rôle (fonction).

3.H.1.2.b

Depth 3

Chaque signe de ponctuation joue un rôle dans la phrase et donne des indices sur l’intonation.

3.H.1.2.c

Depth 3

La classe de mots à laquelle un mot appartient détermine s’il est receveur ou donneur d’accord.

3.H.1.2.d

Depth 3

Le verbe varie selon son sujet.

3.H.1.3.a

Depth 3

Utiliser des phrases de base pour s’exprimer en contexte.

3.H.1.3.b

Depth 3

Repérer, en contexte, et discuter de divers types et formes de phrases.

3.H.1.3.c

Depth 3

Repérer et décrire le groupe nominal sujet et son rôle dans des phrases de base, en contexte.

3.H.1.3.d

Depth 3

Repérer et décrire le groupe verbal et son rôle dans des phrases de base, en contexte.

3.H.1.3.e

Depth 3

Faire des liens entre le sujet et le prédicat dans des phrases, en contexte.

3.H.1.3.f

Depth 3

S’exercer à formuler des phrases de forme positive et de forme négative.

3.H.1.3.g

Depth 3

Reconnaitre et s’exercer à employer le signe de ponctuation selon le type de phrase, en contexte.

3.H.1.3.h

Depth 3

Faire des liens entre l’intonation et le type de phrase exclamatif ou interrogatif.

3.H.1.3.i

Depth 3

Repérer et expérimenter l’emploi de la virgule dans des phrases, en contexte.

3.H.1.3.j

Depth 3

Expérimenter l’emploi de l’apostrophe, en contexte.

3.H.1.3.k

Depth 3

Démontrer des automatismes dans l’emploi de la majuscule et du point, en contexte.

3.H.1.3.l

Depth 3

S’exercer à reconnaitre et expérimenter l’emploi de déterminants, de noms, de pronoms personnels, de verbes et d’adjectifs dans des phrases, en contexte.

3.H.1.3.m

Depth 3

Établir le lien entre le genre et le nombre du nom commun et son déterminant, en contexte, y compris le déterminant possessif.

3.H.1.3.n

Depth 3

Établir le lien entre le genre et le nombre du nom commun et de l’adjectif.

3.H.1.3.o

Depth 3

Repérer et s’exercer à utiliser, en contexte, l’ajout du s à la fin de certains noms et adjectifs au pluriel.

3.H.1.3.p

Depth 3

Repérer et s’exercer à utiliser, en contexte, l’ajout du e, qui indique le féminin, à la fin de certains noms et adjectifs au masculin.

3.H.1.3.q

Depth 3

Décrire l’emploi du déterminant possessif dans des phrases, en contexte.

3.H.1.3.r

Depth 3

Explorer des outils de référence et des indices, p. ex. le déterminant pour déterminer le genre d’un mot.

3.H.1.3.s

Depth 3

Décrire si le verbe indique une action ou un état.

3.H.1.3.t

Depth 3

Reconnaitre, en contexte, des verbes qui indiquent le passé, le présent ou le futur.

3.H.1.3.u

Depth 3

Repérer et décrire des régularités dans la conjugaison des verbes réguliers (employés couramment) conjugués au présent.

3.H.1.3.v

Depth 3

S’exercer à utiliser des verbes réguliers (employés couramment) conjugués au présent.

3.H.1.3.w

Depth 3

Repérer les verbes irréguliers avoir, être, finir, dire et aller et discuter de leur conjugaison au présent.

3.H.1.3.x

Depth 3

Expérimenter l’utilisation, en contexte, des verbes irréguliers avoir et être?conjugués au présent.

3.H.1.3.y

Depth 3

Comparer l’emploi des verbes avoir et être?dans les expressions usuelles en français et en anglais.

3.H.1.3.z

Depth 3

Explorer l’utilisation des verbes modèles qui facilitent la conjugaison des verbes au présent.

Framework metadata

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Grade 3 - French Immersion Language Arts and Literature
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CC BY 4.0 US