Standard set
Grade 6 - French Immersion Language Arts and Literature
Standards
Showing 243 of 243 standards.
French Immersion Language Arts and Literature
6.A
Oral Communication: Oral comprehension and expression promote language development, positive relationships, and collaboration.
6.B
Vocabulary: Understanding the meaning and formation of words facilitates oral communication, reading, and writing.
6.C
Text Organization: Different text genres are used to understand and express ideas, information, and perspectives about the world.
6.D
Text Comprehension: Understanding of ideas, perspectives, and cultures in texts is supported through the application of reading strategies and processes.
6.E
Reading Fluency: Reading fluency development promotes oral and written comprehension and expression.
6.F
Text Production: Text production and creativity allow for the sharing of ideas and information in various contexts.
6.G
Grammar: The understanding and application of grammar promotes effective communication of ideas when speaking and writing.
6.A.1
Students manage their listening to interpret the meaning of messages in authentic oral communication situations that reflect various topics, purposes, and common language variations. Students consider criteria for improving their language skills, and communicate consistently in French in authentic oral communication situations that reflect various topics and purposes, spontaneously and in a prepared manner.
6.B.1
Students analyze words to expand their vocabulary, and enhance their oral and written communication across various topics and disciplines.
6.C.1
Students analyze the characteristics and structures of text genres to make connections between genres of the same type.
6.D.1
Students analyze and interpret texts of various genres using comprehension strategies.
6.E.1
Students read texts at their independent reading level with fluency, expression, and automaticity in various contexts.
6.F.1
Students adapt their approach to generating, planning, writing, and sharing their ideas according to the requirements of the text genre, while demonstrating persistance in pursuing personal goals.
6.G.1
Students integrate the elements of sentence grammar studied into the interpretation and formation of sentences of various types and forms, in context.
6.A.1.1
Knowledge
6.A.1.2
Understanding
6.A.1.3
Skills & Procedures
6.B.1.1
Knowledge
6.B.1.2
Understanding
6.B.1.3
Skills & Procedures
6.C.1.1
Knowledge
6.C.1.2
Understanding
6.C.1.3
Skills & Procedures
6.D.1.1
Knowledge
6.D.1.2
Understanding
6.D.1.3
Skills & Procedures
6.E.1.1
Knowledge
6.E.1.2
Understanding
6.E.1.3
Skills & Procedures
6.F.1.1
Knowledge
6.F.1.2
Understanding
6.F.1.3
Skills & Procedures
6.G.1.1
Knowledge
6.G.1.2
Understanding
6.G.1.3
Skills & Procedures
6.A.1.1.a
comportements d’écoute active qui comprennent : orienter son attention faire preuve d’une ouverture d’esprit envers diverses perspectives, prendre des notes en lien avec le but de compréhension, reformuler les propos et faire le suivi de sa compréhension.
6.A.1.1.b
Les variations dans la façon de parler français reflètent la diversité de la francophonie.
6.A.1.1.c
L’identité est un ensemble de caractéristiques de soi influencé par des éléments variés, p. ex. les : expériences vécues, langues connues, communautés d’appartenance, cultures environnantes et interactions avec des textes.
6.A.1.1.d
Les critères d’une production orale peuvent aussi inclure la clarté et la fluidité de la communication.
6.A.1.1.e
La fluidité dans la communication orale est la capacité de produire un discours continu.
6.A.1.1.f
Une prise de conscience des erreurs à l’oral, y compris des anglicismes (lexicaux, phonétiques, syntaxiques) qui favorise l’autocorrection démontre la confiance en soi.
6.A.1.1.g
L’emploi du tutoiement et du vouvoiement est déterminé par le degré de familiarité entre les interlocuteurs et dépend du contexte culturel et social de la communication.
6.A.1.1.h
Une expression idiomatique est un groupe de mots qui porte un sens différent de son sens littéral.
6.A.1.1.i
Le registre de langue courant (ou standard) est le langage employé dans la vie quotidienne et il est généralement conforme aux règles de la langue.
6.A.1.1.j
Le registre de langue familier est le langage employé avec des copains ou des proches.
6.A.1.1.k
Une réflexion sur les critères de production et la rétroaction favorisent l’atteinte de buts et l’amélioration des habiletés d’expression orale.
6.A.1.1.l
La conversation est facilitée par des conventions qui comprennent : l’amorce, la stimulation et la clôture de la conversation, la réparation des bris de communication, l’adaptation à son interlocuteur et l’écoute active.
6.A.1.1.m
Une opinion ou une perspective exprimée de façon authentique et respectueuse favorise la conversation collaborative.
6.A.1.1.n
Le cercle de la parole permet de considérer les opinions et les perspectives de chacun de façon respectueuse.
6.A.1.1.o
La participation aux évènements des Premières Nations, des Métis et des Inuits demande une connaissance et un respect des protocoles, p. ex. des offres et des réceptions de cadeaux.
6.A.1.1.p
Les traditions orales permettent de transmettre des perspectives (p. ex. : la fable).
6.A.1.1.q
Les référents culturels des communautés d’expression française reflètent leur diversité, p. ex. : la musique populaire, les médias sociaux, les artistes, les sports et les émissions de télévision et les films.
6.A.1.1.r
Les jeunes francophones participent à des activités culturelles et de divertissement en français, dans des communautés, y compris celles en ligne.
6.A.1.1.s
L’établissement de liens avec des référents culturels de la francophonie influence le développement de l’identité.
6.A.1.2.a
L’écoute active permet de hausser la compréhension du français selon divers sujets, intentions, contextes et interlocuteurs.
6.A.1.2.b
La production orale et l’atteinte de buts favorisent le développement de la confiance en sa capacité à communiquer en français et de son identité plurilingue.
6.A.1.2.c
La conversation collaborative permet une compréhension commune et inclusive qui tient compte de diverses idées et opinions ou perspectives.
6.A.1.2.d
Les traditions orales permettent d’apprécier l’importance de l’interrelation entre soi, les communautés et le monde.
6.A.1.2.e
L’appréciation des référents culturels francophones permet de connaitre et de faire partie de la diversité de la francophonie.
6.A.1.3.a
Synthétiser le contenu d’un texte (oral) avec ses connaissances antérieures.
6.A.1.3.b
Intégrer le suivi de sa compréhension tout au long de diverses situations de communication.
6.A.1.3.c
Optimiser son écoute selon le sujet, l’intention, le contexte et les interlocuteurs.
6.A.1.3.d
Reformuler les propos entendus dans ses propres mots pour suivre et vérifier sa compréhension.
6.A.1.3.e
Communiquer avec constance en français, dans divers contextes, avec différents publics et à des fins variées, y compris le divertissement.
6.A.1.3.f
Considérer les critères et la rétroaction qui appuient la préparation et la production orale dans diverses situations d’apprentissage et sociales.
6.A.1.3.g
S’exercer à éviter et à corriger les erreurs les plus courantes à l’oral.
6.A.1.3.h
Décrire les images mentales créées par des expressions idiomatiques.
6.A.1.3.i
S’exercer à utiliser le tutoiement ou le vouvoiement dans des contextes appropriés.
6.A.1.3.j
Relever des similarités et des différences entre les registres de langue familier et courant (ou standard).
6.A.1.3.k
Faire des liens entre l’atteinte de buts et la perception de soi.
6.A.1.3.l
Participer activement à des conversations collaboratives en considérant des conventions propres au contexte.
6.A.1.3.m
Inclure diverses idées, opinions ou perspectives dans l’expression de son propre point de vue, y compris lors du cercle de la parole.
6.A.1.3.n
Examiner quelques protocoles pour une participation respectueuse à certains évènements des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.
6.A.1.3.o
Examiner des perspectives transmises par des traditions orales de la francophonie et des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.
6.A.1.3.p
Faire des liens entre des référents culturels propres à diverses communautés d’expression française et ses champs d’intérêt.
6.A.1.3.q
Discuter de sa place dans la francophonie et de son identité plurilingue.
6.B.1.1.a
L’analyse de la formation et des relations entre des mots peut permettre d’en déduire le sens.
6.B.1.1.b
Les affixes sont des morphèmes non autonomes qui sont porteurs de sens, p.ex. aéro, anté, anti, phobie, ique.
6.B.1.1.c
Un mot composé est un mot constitué de deux mots indépendants, p. ex : portefeuille, garde-robe et grand-maman.
6.B.1.1.d
La différenciation des homophones et des mots ayant plus d’un sens facilite la compréhension du message.
6.B.1.1.e
Des anglicismes (lexicaux) peuvent être des faux amis ou des mots ou des expressions empruntés à la langue anglaise pour lesquels un mot français existe, p. ex. : dans l’autobus plutôt que sur l’autobus, coup de pied plutôt que kick et je cherche plutôt que je regarde.
6.B.1.1.f
Les mots qui constituent un mot composé sont soit soudés, soit séparés par un espace ou un trait d’union.
6.B.1.1.g
Les abréviations peuvent varier d’une langue à une autre.
6.B.1.1.h
Les régularités orthographiques suivent des règles qui font partie des conventions d’écriture, y compris : l’ajout d’un accent pour distinguer certains homophones, p. ex. à/a, où/ou, mûr/mur, jeûne/jeune, sûr/sur et l’accent circonflexe est seulement utilisé sur les voyelles a, e et o, car il n’est plus obligatoire sur le i et le u, sauf dans le cas des homophones.
6.B.1.2.a
L’expansion du vocabulaire favorise une compréhension approfondie des contenus de diverses matières et la capacité à participer à des activités des communautés de la francophonie.
6.B.1.2.b
La connaissance des conventions d’écriture facilite la compréhension et la production écrites.
6.B.1.3.a
Expliquer le sens de mots composés rencontrés en contexte.
6.B.1.3.b
Analyser la formation et la relation entre des mots pour déduire le sens de nouveaux mots.
6.B.1.3.c
Discerner le sens d’homophones et de mots ayant plus d’un sens, utilisés couramment, selon les indices de leur contexte.
6.B.1.3.d
S’exercer à utiliser des mots ou expressions pour remplacer quelques anglicismes (lexicaux) courants.
6.B.1.3.e
Interpréter et intégrer un nombre croissant de nouveaux mots et d’expressions de plus en plus précis en lien avec diverses matières scolaires, y compris des mots de niveaux 1, 2 et 3.
6.B.1.3.f
Utiliser des synonymes, des antonymes et des mots de la même famille pour éviter les répétitions et enrichir l’expression orale et écrite.
6.B.1.3.g
Prévoir, au besoin, des outils de référence qui appuient la vérification du sens des mots.
6.B.1.3.h
Développer une constance dans l’application des conventions d’écriture pour orthographier des mots, en contexte.
6.B.1.3.i
Tenir compte du contexte pour différencier l’orthographe d’homophones fréquents.
6.B.1.3.j
Prendre conscience de la formation des mots composés.
6.B.1.3.k
Interpréter des abréviations rencontrées dans des textes.
6.B.1.3.l
Décrire des similarités et des différences entre les abréviations de la langue française et anglaise.
6.C.1.1.a
Les caractéristiques des textes de type narratif comprennent : des personnages, des lieux, des actions ou des évènements, un problème ou une intrigue, un narrateur et des indices de temps.
6.C.1.1.b
Les genres de textes de type narratif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : la fable, le roman jeunesse et le récit de vie.
6.C.1.1.c
Les caractéristiques des textes de type poétique comprennent la présence ou l’absence de rime et des mots choisis pour produire des effets.
6.C.1.1.d
Les genres de textes de type poétique peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : le proverbe et les expressions idiomatiques.
6.C.1.1.e
Les caractéristiques des textes de type dialogal comprennent : des échanges verbaux, des tirets, des bulles (phylactères). des guillemets, des deux-points, du langage non verbal, de la prosodie et des pauses, des répétitions et des hésitations.
6.C.1.1.f
Les genres de textes de type dialogal peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : le texto, le cercle de lecture et l’improvisation.
6.C.1.1.g
Les caractéristiques des textes de type descriptif comprennent des aspects et des sous-aspects et un vocabulaire neutre et précis.
6.C.1.1.h
Les genres de textes de type descriptif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : le guide touristique, la description à l’intérieur d’une publicité et le diagramme.
6.C.1.1.i
L’intention de communication des textes courants de type explicatif est de faire comprendre une problématique ou un phénomène en répondant à la question pourquoi.
6.C.1.1.j
Les caractéristiques des textes de type explicatif comprennent : des exemples, des définitions, des comparaisons, des supports visuels et de l’information précise.
6.C.1.1.k
Les genres de textes de type explicatif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. l’article encyclopédique et le reportage audiovisuel.
6.C.1.1.l
Les caractéristiques des textes de type argumentatif comprennent : une prise de position ou un point de vue, des raisons et des exemples.
6.C.1.1.m
Les genres de textes de type argumentatif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : le message publicitaire, la critique de film et la lettre d’opinion.
6.C.1.1.n
La structure de textes de type narratif comprend les étapes suivantes : la situation initiale, l’élément déclencheur, le développement, le dénouement et la situation finale.
6.C.1.1.o
Le développement du texte de type descriptif décrit les idées principales et secondaires.
6.C.1.1.p
La structure de textes de type explicatif comprend : l’introduction ou la phase de questionnement, le développement ou la phase explicative et la conclusion ou la phase conclusive.
6.C.1.1.q
Le développement du texte de type explicatif contient des éléments d’explication, en réponse à un questionnement.
6.C.1.1.r
La structure de textes de type argumentatif comprend la : phase introductive, qui présente le sujet, phase argumentative ou le développement, qui présente les raisons ou les exemples et phase conclusive, qui énonce la position finale.
6.C.1.1.s
Les indices qui aident à déterminer l’organisation des textes comprennent des : marques graphiques d’organisation de texte, p. ex. des titres, des illustrations et la disposition du texte et organisateurs textuels, p. ex. tout d’abord, par la suite, le lendemain, pour conclure, en résumé.
6.C.1.1.t
Les organisateurs textuels peuvent permettre d’établir un lien entre des paragraphes dans un texte.
6.C.1.2.a
Les caractéristiques, la structure et l’intention de communication de textes numériques et non numériques contribuent à la compréhension et à la production de textes.
6.C.1.2.b
La structure du texte guide l’enchainement des idées et facilite la production et la compréhension.
6.C.1.3.a
Associer les caractéristiques des types de textes littéraires à des genres de textes.
6.C.1.3.b
Associer les caractéristiques des types de textes courants à des genres de textes.
6.C.1.3.c
Expliquer les similarités et les différences entre divers genres de textes d’un même type.
6.C.1.3.d
Dégager la structure de textes littéraires de type narratif.
6.C.1.3.e
Comparer la structure entre des genres de textes de types descriptif, explicatif et argumentatif.
6.C.1.3.f
Interpréter les organisateurs textuels et les marques graphiques d’organisation du texte.
6.C.1.3.g
Décrire les liens entre les idées à l’intérieur des textes.
6.C.1.3.h
Sélectionner des outils et schématiser l’organisation de divers textes.
6.D.1.1.a
Les stratégies qui appuient la prélecture comprennent aussi : survoler le texte et le paratexte, repérer les indices reliés au genre et à l’organisation du texte et déterminer si une lecture approfondie est nécessaire.
6.D.1.1.b
Les marqueurs de relation servent à indiquer différents types de relations entre les éléments de la phrase, ou entre les phrases, y compris une relation : d’addition (p. ex. : de même que, de plus, aussi), de cause (p. ex. : à cause de, car, puisque) et d’ordre (p. ex. : d’abord, enfin, puis).
6.D.1.1.c
Le paratexte comprend aussi : le résumé, l’information sur l’auteur et les supports visuels.
6.D.1.1.d
Les stratégies de gestion de la compréhension tiennent compte de l’information explicite et des indices implicites du texte.
6.D.1.1.e
Le narrateur peut fournir de l’information explicite et implicite.
6.D.1.1.f
Une inférence est une déduction faite à partir d’indices.
6.D.1.1.g
La réaction peut impliquer la pensée critique, p. ex. repérer : les sources, des caractéristiques propres à des peuples, y compris leurs contributions, des faits, des opinions, des liens avec des expériences, vécues, avec d’autres textes et avec le monde et des conclusions.
6.D.1.1.h
Une perspective est une façon de percevoir les choses qui peut être influencée par le vécu et le bagage culturel.
6.D.1.1.i
Le bagage culturel est l’ensemble des connaissances d’un individu au sujet des cultures et des contributions de certains peuples.
6.D.1.1.j
Les textes de la francophonie et les textes traduits qui contiennent des caractéristiques culturelles variés contribuent à la construction de son bagage culturel et à la valorisation de la langue française.
6.D.1.2.a
L’information explicite, les éléments implicites, l’information contextuelle et l’utilisation sélective de stratégies permettent une compréhension approfondie d’un texte.
6.D.1.2.b
Le partage de ses réactions à un texte offre une occasion de hausser la qualité et la pertinence de ses explications et de ses justifications.
6.D.1.2.c
Le plurilinguisme influence la compréhension de diverses perspectives, l’établissement de liens avec la francophonie et la perception de soi.
6.D.1.3.a
Analyser des textes littéraires et courants dont le contenu est adapté au niveau scolaire.
6.D.1.3.b
Mettre en pratique la gestion de sa compréhension en choisissant des stratégies qui permettent de comprendre des textes de divers genres.
6.D.1.3.c
Expliquer les liens entre les éléments du paratexte et le genre du texte.
6.D.1.3.d
Interpréter des indices qui permettent de déduire des inférences.
6.D.1.3.e
Réagir à divers textes, y compris des textes qui proviennent de la francophonie et des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.
6.D.1.3.f
Synthétiser des caractéristiques culturelles et des opinions présentées dans divers textes.
6.D.1.3.g
Discuter des éléments qui peuvent influencer la perspective véhiculée dans un texte.
6.D.1.3.h
Déterminer des liens entre des caractéristiques culturelles trouvées dans des textes et les communautés d’immersion française.
6.D.1.3.i
Reconnaitre que le plurilinguisme favorise une ouverture d’esprit envers la diversité et les cultures.
6.E.1.1.a
La prosodie en lecture comprend aussi l’accent d’insistance (ou expressif).
6.E.1.1.b
La fluidité implique la capacité à lire avec précision et automaticité en intégrant les composantes de la prosodie, les liaisons et l’autocorrection.
6.E.1.1.c
L’accent d’insistance permet d’attirer l’attention sur une syllabe ou un mot.
6.E.1.2.a
La fluidité en lecture qui découle de la pratique régulière permet au lecteur de se focaliser sur la compréhension du texte.
6.E.1.3.a
Faire une lecture fluide de textes de divers genres en incorporant des composantes de la prosodie, les liaisons et l’autocorrection.
6.E.1.3.b
Mettre en pratique des accents d’insistance qui reflètent une compréhension et le but de communication lors de la lecture.
6.E.1.3.c
Ajuster son débit pour assurer la reconnaissance des mots, la compréhension du texte ou l’effet désiré.
6.F.1.1.a
Le choix et l’ordre des étapes du processus d’écriture varient selon l’intention de communication et le genre du texte.
6.F.1.1.b
Le genre du texte influence la forme de l’organisateur graphique.
6.F.1.1.c
Les idées secondaires développent l’idée principale d’un paragraphe en y apportant des précisions.
6.F.1.1.d
Le choix de mots précis ou descriptifs contribue à rendre le texte plus clair ou plus esthétique.
6.F.1.1.e
La mise en texte prend en compte le genre dans l’enchainement des idées et l’organisation du texte.
6.F.1.1.f
La révision permet d’assurer la clarté et la créativité du texte en vérifiant : le choix de mots, y compris les marqueurs de relation et les organisateurs textuels, la fluidité des phrases et des paragraphes, la suffisance et la pertinence des idées et des détails et l’organisation du texte.
6.F.1.1.g
Les étapes de révision et de correction peuvent être réalisées tout au long du processus d’écriture en ayant recours à : ses connaissances antérieures, une grille de correction, des outils de référence numériques et non numériques et la rétroaction.
6.F.1.1.h
L’apprentissage de plus d’une langue, qui inclut la capacité à communiquer à l’écrit, est une démonstration du développement des talents et du potentiel langagier.
6.F.1.1.i
Le plurilinguisme est un atout commun à plusieurs Canadiens qui démontre la persévérance.
6.F.1.1.j
L’assonance est un jeu sonore qui consiste à répéter un son voyelle.
6.F.1.1.k
L’allitération, la comparaison et l’assonance sont des figures de style.
6.F.1.1.l
La validité d’une information est liée à sa véracité, sa pertinence et à la source d’où elle provient.
6.F.1.1.m
La pertinence d’une information peut varier selon son utilité en lien avec le sujet et sa situation dans le temps.
6.F.1.1.n
Le droit d’auteur peut être respecté par : l’élaboration de la liste des sources et la paraphrase.
6.F.1.1.o
La paraphrase consiste à reprendre dans ses propres mots les propos d’un auteur.
6.F.1.2.a
Le partage des textes présente des occasions de célébrer son plurilinguisme et de souligner la persévérance dans la poursuite de ses buts personnels.
6.F.1.2.b
Le choix des figures de style et des effets sonores dépend de l’intention de communication et de l’effet désiré.
6.F.1.2.c
La validité de l’information dans un texte le rend plus crédible.
6.F.1.3.a
Adapter les étapes du processus d’écriture à l’intention de communication et au genre de texte choisi.
6.F.1.3.b
Analyser et sélectionner des organisateurs graphiques qui répondent à ses besoins d’écriture.
6.F.1.3.c
Rédiger des paragraphes qui contiennent des idées principales et secondaires.
6.F.1.3.d
Optimiser la révision du texte tout au long du processus d’écriture pour y apporter des modifications qui créent des effets.
6.F.1.3.e
Solliciter et prendre en compte la rétroaction pour apporter des modifications et des corrections à son texte.
6.F.1.3.f
Adopter une mise en page attrayante et lisible qui reflète le genre du texte et l’effet désiré.
6.F.1.3.g
Employer diverses façons de partager le produit final de ses textes.
6.F.1.3.h
Valoriser le cheminement langagier et la persévérance, personnels et de ses pairs.
6.F.1.3.i
Valoriser des avantages du développement de son potentiel en tant qu’apprenant plurilingue en immersion française.
6.F.1.3.j
Utiliser la rime, l’allitération et l’onomatopée dans la production de textes.
6.F.1.3.k
S’exercer à utiliser la comparaison et l’assonance dans la production de textes.
6.F.1.3.l
Distinguer les faits des opinions.
6.F.1.3.m
Évaluer la validité de l’information.
6.F.1.3.n
Prioriser et utiliser l’information de manière responsable en identifiant les sources.
6.F.1.3.o
Synthétiser dans ses propres mots l’information retenue tout en préservant le sens.
6.F.1.3.p
Intégrer la nouvelle information valide à ses connaissances et à sa compréhension actuelles.
6.G.1.1.a
Les phrases peuvent être analysées et transformées à l’aide de manipulations de mots ou de groupes de mots, y compris : l’effacement, le déplacement, le remplacement, l’addition et l’encadrement.
6.G.1.1.b
Le remplacement consiste à remplacer un mot ou un groupe de mots par un autre pour en déterminer la fonction.
6.G.1.1.c
L’addition consiste à ajouter un mot d’intensité, p. ex. très ou peu, pour déterminer un adjectif.
6.G.1.1.d
Le complément direct du verbe est un mot ou un groupe de mots lié directement au verbe qui répond à la question qui? ou quoi? après le verbe.
6.G.1.1.e
La phrase de type impératif est construite à partir d’un verbe conjugué à l’impératif.
6.G.1.1.f
Un mot-écran est un mot qui se retrouve entre le sujet et le prédicat dans une phrase.
6.G.1.1.g
Les anglicismes (syntaxiques) incluent des phrases en français construites selon une structure propre à l’anglais, p. ex. : Je allé à mon ami sur le fin de semaine., Ton cheveux regarde bon. et Le blanc cheval court.
6.G.1.1.h
Les signes de ponctuation comprennent : la virgul, le tiret, les points de suspension, les parenthèses, l’apostrophe, les guillemets et les deux-points.
6.G.1.1.i
Des tirets (ou puces) sont utilisés devant chaque élément d’une énumération verticale.
6.G.1.1.j
L’apostrophe, qui marque l’effacement de certaines lettres ou syllabes, afin d’imiter la langue parlée, s’appelle l’élision familière.
6.G.1.1.k
Les guillemets peuvent être utilisés pour indiquer le début et la fin d’un dialogue.
6.G.1.1.l
Les deux-points introduisent une énumération, une citation ou une explication.
6.G.1.1.m
La conjonction et la préposition sont des marqueurs de relation qui servent à joindre des mots ou des groupes de mots à l’intérieur d’une phrase.
6.G.1.1.n
La conjonction et la préposition sont des mots invariables qui ne peuvent pas être effacés de la phrase.
6.G.1.1.o
L’adverbe est un mot invariable, souvent formé à partir du féminin d’un adjectif auquel on ajoute le suffixe ment.
6.G.1.1.p
Les pronoms personnels permettent d’éviter des répétitions lorsqu’ils remplacent des noms dans le groupe nominal en respectant le genre et le nombre.
6.G.1.1.q
La plupart des noms et des adjectifs qui se terminent en al et en ail au singulier se transforment en aux au pluriel.
6.G.1.1.r
Les terminaisons en er, eau et f des mots au masculin se transforment respectivement en ère, elle et ve au féminin.
6.G.1.1.s
Certaines régularités permettent de développer des automatismes reliés au genre des noms, p. ex. : les noms des arbres sont généralement masculins et les noms des fêtes sont généralement féminins.
6.G.1.1.t
Le remplacement peut aussi être utilisé pour déterminer la classe à laquelle un mot appartient en le remplaçant par un mot de la même classe.
6.G.1.1.u
Le mode infinitif nomme le verbe qui n’est pas conjugué.
6.G.1.1.v
Le mode indicatif permet d’affirmer quelque chose de réel qu’on peut situer dans le temps.
6.G.1.1.w
Le mode indicatif inclut plusieurs temps, y compris : le présent, le passé composé et l’imparfait.
6.G.1.1.x
Le verbe à l’impératif (présent) a un sujet sous-entendu qui représente la ou les personnes à qui le locuteur s’adresse.
6.G.1.1.y
Les verbes irréguliers les plus fréquents comprennent avoir, être, finir, dire, aller, faire, pouvoir, et vouloir.
6.G.1.1.z
Le futur proche est un temps composé formé du verbe aller au présent suivi d’un verbe à l’infinitif, et surtout utilisé à l’oral ou dans le registre de langue familier.
6.G.1.2.a
La grammaire de la phrase permet l’analyse, l’interprétation et la production de phrases dans des textes.
6.G.1.2.b
La ponctuation est un ensemble de signes visuels qui suit les conventions d’une langue et permet l’organisation à l’intérieur des phrases et des textes écrits.
6.G.1.2.c
Le respect des règles d’accord à l’oral et à l’écrit favorise la compréhension mutuelle.
6.G.1.2.d
La conjugaison et l’accord des verbes facilitent la clarté de la communication.
6.G.1.3.a
Décrire les trois constituants des phrases de types et de formes variés, employées en contexte.
6.G.1.3.b
Utiliser, en contexte, des phrases de types et de formes variés.
6.G.1.3.c
Transformer des phrases en divers types et formes de phrases.
6.G.1.3.d
Préciser le sujet dans des phrases contenant un mot-écran entre le sujet et le prédicat.
6.G.1.3.e
S’exercer à reconnaitre des structures de phrases employées fréquemment qui ne suivent pas la syntaxe en français (anglicismes syntaxiques).
6.G.1.3.f
Expliquer le rôle de divers signes de ponctuation et les utiliser dans des textes.
6.G.1.3.g
Expliquer et utiliser l’élision familière dans des phrases, en contexte.
6.G.1.3.h
S’exercer à distinguer l’utilisation de la ponctuation en français de l’anglais.
6.G.1.3.i
Distinguer les mots variables des mots invariables et les utiliser dans des phrases variées, en contexte.
6.G.1.3.j
Repérer et expérimenter l’utilisation, en contexte, de conjonctions, de prépositions et d’adverbes dans des phrases variées.
6.G.1.3.k
Coordonner l’utilisation de pronoms pour remplacer des noms dans des groupes nominaux pour éviter des répétitions dans des textes.
6.G.1.3.l
Vérifier, en contexte, l’utilisation et l’accord régulier des mots variables.
6.G.1.3.m
Décrire et développer des automatismes dans l’accord des noms et des adjectifs qui se transforment au féminin ou au pluriel.
6.G.1.3.n
S’appuyer sur des indices, p. ex. le déterminant, des régularités, le remplacement ou des outils de référence, pour vérifier le genre ou l’appartenance d’un mot à une classe de mots.
6.G.1.3.o
S’exercer à utiliser des verbes réguliers et irréguliers (employés couramment) conjugués à l’impératif (présent).
6.G.1.3.p
Expérimenter l’utilisation, en contexte des verbes réguliers et irréguliers (employés couramment) conjugués au passé composé de l’indicatif.
6.G.1.3.q
Vérifier la conjugaison, en contexte, des verbes réguliers et irréguliers (employés couramment) au présent de l’indicatif, quand le sujet les précède immédiatement.
6.G.1.3.r
S’exercer à utiliser des verbes réguliers et irréguliers (employés couramment) conjugués à l’imparfait de l’indicatif.
6.G.1.3.s
Repérer des verbes réguliers et irréguliers (employés couramment) et discuter de leur conjugaison au futur proche.
6.G.1.3.t
Considérer l’infinitif du verbe afin d’appuyer le choix d’un modèle de conjugaison des verbes réguliers et irréguliers.
6.G.1.3.u
Utiliser, au besoin, des verbes modèles et des outils numériques ou non numériques pour vérifier la conjugaison des verbes en contexte.
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- Grade 6 - French Immersion Language Arts and Literature
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