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Grade 5 - French Immersion Language Arts and Literature
Standards
Showing 267 of 267 standards.
French Immersion Language Arts and Literature
5.A
Oral Communication: Oral comprehension and expression promote language development, positive relationships, and collaboration.
5.B
Vocabulary: Understanding the meaning and formation of words facilitates oral communication, reading, and writing.
5.C
Text Organization: Different text genres are used to understand and express ideas, information, and perspectives about the world.
5.D
Text Comprehension: Understanding of ideas, perspectives, and cultures in texts is supported through the application of reading strategies and processes.
5.E
Reading Fluency: Reading fluency development promotes oral and written comprehension and expression.
5.F
Text Production: Text production and creativity allow for the sharing of ideas and information in various contexts.
5.G
Grammar: The understanding and application of grammar promotes effective communication of ideas when speaking and writing.
5.A.1
Students use active listening to understand main and secondary ideas in authentic oral communication situations that reflect various topics and purposes. Students express themselves in French on a regular basis in authentic oral communication situations, that reflect various topics and purposes, spontaneously and in a prepared manner.
5.B.1
Students make connections between words to strengthen oral and written communication on various topics.
5.C.1
Students examine the characteristics and structures of fiction and non-fiction texts and match their genre to the corresponding type.
5.D.1
Students selectively apply strategies according to the text and reading purpose, and demonstrate comprehension of texts of various genres.
5.E.1
Students read texts at their independent reading level with fluency and expression, experimenting with rate of flow.
5.F.1
Students implement an orderly process to generate, plan, write, and share their ideas, meeting the requirements of the type of text and targeting language goals.
5.G.1
Students use the elements of sentence grammar studied to understand and produce simple sentences of various types and forms, in context.
5.A.1.1
Knowledge
5.A.1.2
Understanding
5.A.1.3
Skills & Procedures
5.B.1.1
Knowledge
5.B.1.2
Understanding
5.B.1.3
Skills & Procedures
5.C.1.1
Knowledge
5.C.1.2
Understanding
5.C.1.3
Skills & Procedures
5.D.1.1
Knowledge
5.D.1.2
Understanding
5.D.1.3
Skills & Procedures
5.E.1.1
Knowledge
5.E.1.2
Understanding
5.E.1.3
Skills & Procedures
5.F.1.1
Knowledge
5.F.1.2
Understanding
5.F.1.3
Skills & Procedures
5.G.1.1
Knowledge
5.G.1.2
Understanding
5.G.1.3
Skills & Procedures
5.A.1.1.a
La compréhension orale est favorisée par des comportements d’écoute active qui comprennent : cibler le but de compréhension, gérer son attention, démontrer une ouverture d’esprit envers diverses opinions, prendre des notes et faire le suivi de sa compréhension en faisant appel à ses connaissances antérieures.
5.A.1.1.b
Le suivi de sa compréhension comprend la capacité à : suivre le déroulement et la cohérence des idées ou de l’information, détecter des bris ou des incohérences dans sa compréhension et réparer un bris ou à obtenir des clarifications dans sa compréhension.
5.A.1.1.c
Les facteurs qui influencent la compréhension comprennent : le bruit, le débit, les variations langagières et le contexte.
5.A.1.1.d
Des variations existent dans la façon de parler une même langue, p. ex. les accents.
5.A.1.1.e
Les critères d’une production orale portent sur la forme et le contenu et varient selon : l’intention de communication, le public cible ou l’interlocuteur et l’effet recherché.
5.A.1.1.f
Une prise de conscience des erreurs courantes à l’oral, y compris les anglicismes (lexicaux, phonétiques), favorise l’amélioration de la langue parlée.
5.A.1.1.g
Les anglicismes (phonétiques) incluent la prononciation anglaise d’un mot français, p. ex. la prononciation d’un s muet à la fin d’un mot ou du h muet comme un h aspiré.
5.A.1.1.h
L’emploi du pronom tu s’appelle le tutoiement et est une marque de familiarité.
5.A.1.1.i
L’emploi du pronom vous s’appelle le vouvoiement et est une marque de respect envers une personne plus âgée ou qui nous est peu connue.
5.A.1.1.j
La conversation est facilitée par des conventions qui comprennent : un langage collaboratif et inclusif, l’amorce, la stimulation et la clôture de la conversation, la réparation des bris de communication et la considération de la personne à qui on parle.
5.A.1.1.k
Un bris de communication est une interruption du dialogue.
5.A.1.1.l
Des stratégies qui permettent d’amorcer, de stimuler et de clore la conversation comprennent : inclure quelqu’un, démontrer de l’intérêt, poser des questions ouvertes, être interactif, redire dans ses mots et reprendre les points importants.
5.A.1.1.m
Le langage collaboratif est inclusif et permet d’exprimer une opinion de manière respectueuse.
5.A.1.1.n
Le cercle de la parole permet la collaboration et le respect de chacun.
5.A.1.1.o
Les traditions orales se transmettent d’une génération à l’autre et permettent de préserver la langue et la culture d’une communauté, y compris celles de la francophonie (p. ex. : la saynète) et des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.
5.A.1.1.p
Les référents culturels de la francophonie reflètent la diversité des communautés d’expression française, p. ex. les : médias, vedettes et beaux-arts.
5.A.1.1.q
Les référents culturels et les traditions orales de la francophonie peuvent varier d’une communauté à l’autre.
5.A.1.1.r
La francophonie est l’ensemble des communautés diverses, composées des personnes et des organismes, qui communiquent en français à travers le monde.
5.A.1.1.s
Le plurilinguisme favorise l’ouverture d’esprit et permet de faire des liens avec une plus grande variété de communautés.
5.A.1.2.a
L’écoute active permet la compréhension et elle peut être appliquée dans diverses situations de communication.
5.A.1.2.b
L’utilisation de la langue française démontre la valorisation de l’apprentissage et contribue à la confiance en soi.
5.A.1.2.c
La réflexion sur sa production orale favorise le développement des habiletés de communication.
5.A.1.2.d
Les conventions propres au contexte permettent la conversation collaborative.
5.A.1.2.e
Les traditions orales de diverses communautés permettent de préserver et d’honorer des valeurs et des enseignements d’une génération à l’autre.
5.A.1.2.f
L’appréciation des référents culturels francophones permet de développer des liens entre l’image de soi et la francophonie.
5.A.1.3.a
Résumer les idées principales et secondaires de textes (oraux).
5.A.1.3.b
Effectuer le suivi de sa compréhension tout au long de diverses situations de communication.
5.A.1.3.c
Discuter des facteurs qui influencent la compréhension.
5.A.1.3.d
Autoévaluer son écoute active.
5.A.1.3.e
Communiquer régulièrement en français, sur des sujets variés, pour répondre à diverses intentions de communication.
5.A.1.3.f
Cibler des critères qui appuient la préparation et la production orale.
5.A.1.3.g
Détecter les erreurs les plus courantes à l’oral.
5.A.1.3.h
Distinguer des situations qui nécessitent l’utilisation du tutoiement ou du vouvoiement.
5.A.1.3.i
Faire des liens entre la rétroaction et l’apprentissage du français.
5.A.1.3.j
Reconnaitre les effets de l’apprentissage de la langue française sur la personne.
5.A.1.3.k
Tester des stratégies qui permettent d’amorcer, de stimuler et de clore la conversation sur divers sujets.
5.A.1.3.l
Considérer des conventions de conversation selon le contexte, y compris lors du cercle de la parole.
5.A.1.3.m
Verbaliser des façons d’exprimer une opinion de manière respectueuse.
5.A.1.3.n
Discuter de ce qui peut causer un bris de communication.
5.A.1.3.o
Écouter des textes provenant des traditions orales de diverses communautés et partager sa compréhension des enseignements et des valeurs véhiculés.
5.A.1.3.p
Associer des référents culturels de la francophonie à ses champs d’intérêts.
5.B.1.1.a
Les synonymes, les antonymes et les mots d’une même famille peuvent appuyer le choix de mots.
5.B.1.1.b
Les affixes sont des préfixes (p. ex. : co, agro) ou des suffixes (p. ex. : iste, ette) qui sont attachés à la racine d’un mot.
5.B.1.1.c
Les indices fournis par l’emplacement d’un homophone dans la phrase et la classe de mots à laquelle il appartient aident à les différencier.
5.B.1.1.d
L’utilisation consciente de nouveaux mots en facilite l’utilisation dans d’autres contextes.
5.B.1.1.e
Les faux amis sont des mots qui ont une forme similaire en français et en anglais (ou autre langue connue), mais un sens différent, p. ex. : anglais : caractère/(story) character et espagnol : gâteau/gato.
5.B.1.1.f
Des régularités orthographiques existent dans les racines, les préfixes et les suffixes.
5.B.1.1.g
La distinction des homophones permet d’en déterminer l’orthographe, p. ex. vers, verre, vert.
5.B.1.1.h
Une abréviation est la réduction d’un mot écrit, p. ex. M. pour monsieur, Mme pour madame.
5.B.1.2.a
L’étude de la formation des mots contribue à l’expansion du vocabulaire qui facilite l’apprentissage du contenu des matières (scolaires).
5.B.1.2.b
La compréhension du sens et de la formation des mots facilite la reconnaissance et l’orthographe des mots.
5.B.1.3.a
Faire des liens de forme et de sens entre les mots ayant des morphèmes communs, y compris les affixes.
5.B.1.3.b
Expliquer le sens d’homophones et de mots ayant plus d’un sens, utilisés couramment, selon les indices de leur contexte.
5.B.1.3.c
Sélectionner, au besoin, des outils de référence pour vérifier le sens des mots.
5.B.1.3.d
Expliquer le sens et se servir d’un nombre croissant de nouveaux mots et d’expressions rencontrés dans diverses situations de communication, y compris des mots de niveaux 1, 2 et 3.
5.B.1.3.e
Discuter de moyens de remplacer des faux amis courants.
5.B.1.3.f
Mettre en œuvre des moyens pour apprendre et se souvenir de nouveaux mots, y compris l’utilisation d’outils de référence.
5.B.1.3.g
S’exercer à utiliser des synonymes, des antonymes et des mots d’une même famille pour éviter les répétitions.
5.B.1.3.h
Appliquer ses connaissances antérieures et avoir recours, au besoin, à des outils de référence appropriés pour écrire un nombre croissant de nouveaux mots en contexte.
5.B.1.3.i
Prendre conscience de l’influence de l’orthographe des homophones sur la compréhension du message.
5.B.1.3.j
Décrire des abréviations fréquentes rencontrées dans des textes écrits.
5.C.1.1.a
L’intention de communication d’un texte littéraire ou courant peut être : de raconter, de divertir, d’émouvoir, d’informer, d’expliquer, de décrire et de justifier.
5.C.1.1.b
Le genre est un regroupement de textes qui ont des structures et des caractéristiques communes en lien avec l’intention de communication.
5.C.1.1.c
Les caractéristiques des textes de type narratif comprennent : des personnages, des lieux, des actions ou des évènements, un problème ou une intrigue, un narrateur et un temps.
5.C.1.1.d
Les genres de textes de type narratif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. le récit fantastique et le roman graphique.
5.C.1.1.e
Les caractéristiques des textes de type poétique comprennent : des mots descriptifs, des mots pour divertir et un nombre de syllabes prédéterminé.
5.C.1.1.f
Les genres de textes de type poétique peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. le haïku et l’acrostiche.
5.C.1.1.g
Les caractéristiques des textes de type dialogal comprennent des : échanges verbaux, tirets et bulles (phylactères).
5.C.1.1.h
Les genres de textes de type dialogal peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. la conversation et la saynète.
5.C.1.1.i
Les caractéristiques des textes de type descriptif comprennent : un sujet ou un thème, des aspects et des sous-aspects.
5.C.1.1.j
Les genres de textes de type descriptif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : l’itinéraire, le glossaire et le dictionnaire de synonymes.
5.C.1.1.k
L’intention de communication des textes courants de type explicatif est d’expliquer une idée, un concept ou un phénomène.
5.C.1.1.l
Les caractéristiques des textes de type explicatif comprennent : des exemples, des supports visuels, des définitions et des informations précises, p. ex. des faits, des chiffres, des données ou des dates.
5.C.1.1.m
Les genres de textes de type explicatif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. l’encyclopédie illustrée.
5.C.1.1.n
L’intention de communication des textes courants de type argumentatif peut être d’exprimer et de justifier une opinion.
5.C.1.1.o
Les caractéristiques des textes de type argumentatif comprennent : l’expression d’un message ou d’une opinion, des expériences vécues et des exemples.
5.C.1.1.p
Les genres de textes de type argumentatif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. l’affiche de sollicitation et la critique de livre.
5.C.1.1.q
La structure de textes de type narratif comprend les étapes suivantes : la situation initiale, qui établit l’atmosphère de départ et qui peut comprendre les personnages, le lieu et le temps de l’action, l’élément déclencheur, qui déséquilibre la situation et les personnages et qui déclenche le récit, le développement, qui est le déroulement des péripéties ou la succession des actions ou évènements, le dénouement, qui marque la fin de l’action, le résultat ou les conséquences des actions reliées au problème et la situation finale, qui indique la conclusion de l’histoire.
5.C.1.1.r
La structure de textes de type descriptif comprend : l’introduction, le développement des aspects (idées principales) et des sous-aspects (idées secondaires) et la conclusion.
5.C.1.1.s
La structure de textes de type explicatif comprend : l’introduction, qui présente le sujet, le développement, qui donne des explications et la conclusion, qui résume les explications ou conclut le texte.
5.C.1.1.t
La structure de textes de type argumentatif comprend : l’introduction (phase introductive), qui présente une opinion ou prise de position, le développement (phase argumentative), qui présente des expériences ou des exemples qui appuient le sujet et la conclusion (phase conclusive), qui affirme la prise de position finale.
5.C.1.1.u
Les organisateurs textuels sont des mots qui indiquent la transition entre les idées ou les grandes parties du texte, p. ex. d’abord, premièrement, ensuite, en conclusion.
5.C.1.1.v
Les textes comprennent des marques graphiques d’organisation, y compris : des titres, des illustrations, des paragraphes et une disposition du texte.
5.C.1.2.a
Les textes numériques et non numériques, littéraires et courants, sont classés en types et genres selon leurs caractéristiques, leurs structures et leurs intentions de communication.
5.C.1.2.b
La structure du texte guide l’organisation des idées ou de l’information dans un ordre logique ou séquentiel.
5.C.1.3.a
Examiner différents genres de textes littéraires et courants.
5.C.1.3.b
Distinguer des caractéristiques dans un genre de texte qui sont propres à son type de texte.
5.C.1.3.c
Discuter des caractéristiques présentes dans des textes de type explicatif.
5.C.1.3.d
Discuter des caractéristiques présentes dans des textes de type argumentatif.
5.C.1.3.e
Discerner les étapes de la structure de textes de type narratif.
5.C.1.3.f
Discerner les parties de la structure de textes de type descriptif.
5.C.1.3.g
Repérer les parties de la structure de textes de type explicatif.
5.C.1.3.h
Repérer les parties de la structure de textes de type argumentatif.
5.C.1.3.i
Repérer des organisateurs textuels et des marques graphiques d’organisation qui appuient la compréhension de la structure de textes.
5.C.1.3.j
Faire ressortir la structure et l’enchainement des idées de différents textes, à l’aide d’outils de schématisation.
5.D.1.1.a
Le survol du texte et du paratexte appuie la prélecture et permet de faire le lien entre son intention de lecture et le contenu du texte.
5.D.1.1.b
Le contexte peut inclure de l’information implicite et explicite qui permet de comprendre le sens particulier des mots, des phrases ou du texte lui-même.
5.D.1.1.c
Le contexte peut inclure de l’information implicite et explicite qui permet de comprendre le sens particulier des mots, des phrases ou du texte lui-même.
5.D.1.1.d
Le contexte du texte contribue à la compréhension et comprend aussi : les circonstances de temps et de lieu, l’année de publication et l’information au sujet de l’auteur.
5.D.1.1.e
Les éléments du paratexte comprennent : le titre et les intertitres, le glossaire et la table des matières.
5.D.1.1.f
Le titre du texte annonce le sujet du texte et l’intertitre annonce le sujet d’une section du texte.
5.D.1.1.g
Le glossaire, parfois placé à la fin d’un texte, fournit la définition de certains mots de vocabulaire du texte.
5.D.1.1.h
La table des matières est une liste des titres et des intertitres du texte avec le numéro de la page (pagination).
5.D.1.1.i
La lecture est appuyée par des stratégies de compréhension additionnelles, y compris : la référence au contexte, l’ajustement des prédictions, le repérage du paratexte, le repérage de l’organisation des idées principales et secondaires, le surlignement, le soulignement et la prise de notes et les liens entre les textes.
5.D.1.1.j
Les marqueurs de relation sont des mots-clés qui appuient le repérage de l’organisation des idées, p. ex. mais, pour, ainsi que, de plus.
5.D.1.1.k
La gestion de la compréhension comprend : le suivi de sa compréhension, le choix et l’utilisation des stratégies pour résoudre un bris de compréhension et l’utilisation des stratégies tout au long de la lecture pour maintenir et approfondir sa compréhension.
5.D.1.1.l
Les idées secondaires du texte se retrouvent souvent dans les intertitres et dans l’idée principale de chaque paragraphe du texte.
5.D.1.1.m
Un élément explicite dans un texte est une idée ou une information énoncée de façon claire et précise.
5.D.1.1.n
Un élément implicite dans un texte est une idée ou une information sous-entendue qui doit être déduite à l’aide d’indices (inférence).
5.D.1.1.o
La réaction au texte est l’étape du processus de lecture qui permet de déceler, d’exprimer et d’expliquer les émotions et les sentiments ressentis par rapport au texte.
5.D.1.1.p
La réaction peut impliquer la pensée critique, p. ex. repérer : les sources, des caractéristiques propres à des peuples, des faits, des opinions et des liens avec des expériences vécues, avec d’autres textes et avec le monde.
5.D.1.1.q
Les textes contenant des caractéristiques culturelles et des opinions variées peuvent influencer l’image de soi et le sentiment d’identification à la francophonie.
5.D.1.2.a
La lecture autonome implique le choix de stratégies selon l’intention de lecture et les besoins de compréhension d’un texte.
5.D.1.2.b
La réaction peut établir des liens entre des éléments d’un texte, ses connaissances antérieures et ses expériences personnelles en tant que lecteur et apprenant de la langue française.
5.D.1.3.a
Interpréter les idées principales et secondaires de textes littéraires et courants, dont le contenu est adapté au niveau scolaire.
5.D.1.3.b
Choisir les stratégies qui appuient la prélecture et la lecture pour gérer sa compréhension de textes de divers genres.
5.D.1.3.c
Déterminer les mots-clés et les éléments du paratexte et du contexte qui facilitent la compréhension du texte.
5.D.1.3.d
Décrire les stratégies sélectionnées pour approfondir la compréhension d’un texte.
5.D.1.3.e
Appliquer ses connaissances sur l’organisation des textes pour faciliter la compréhension.
5.D.1.3.f
Extraire l’information explicite dans des textes.
5.D.1.3.g
Repérer dans le texte des indices qui permettent de déduire l’information implicite.
5.D.1.3.h
Réagir à divers textes, y compris des textes qui proviennent de la francophonie et des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.
5.D.1.3.i
Résumer des caractéristiques culturelles et des opinions présentées dans divers textes.
5.D.1.3.j
Décrire l’influence de l’établissement de liens avec divers textes en français sur la valorisation de la langue et l’image de soi.
5.E.1.1.a
Une composante additionnelle de la prosodie en lecture est le débit.
5.E.1.1.b
Le débit correspond à la vitesse de prononciation des syllabes.
5.E.1.1.c
La prononciation des liaisons favorise la fluidité en lecture.
5.E.1.1.d
L’autocorrection des méprises de lecture favorise la compréhension.
5.E.1.1.e
La lecture répétée favorise la fluidité et la prosodie.
5.E.1.2.a
La pratique régulière pour le développement d’une lecture expressive et fluide contribue à la compréhension.
5.E.1.3.a
Faire une lecture fluide de textes en incorporant des composantes de la prosodie en tenant compte des liaisons.
5.E.1.3.b
S’exercer à faire les liaisons et à ajuster le débit pour prononcer des mots peu fréquents ou multisyllabiques.
5.E.1.3.c
Suivre le déroulement de sa lecture et, au besoin, corriger ses méprises.
5.F.1.1.a
Les étapes du processus d’écriture peuvent varier selon l’intention de communication et le type de texte.
5.F.1.1.b
L’utilisation d’un organisateur graphique permet de regrouper les idées pour planifier les paragraphes et l’ordre de présentation.
5.F.1.1.c
La mise en texte est l’étape de la conversion de ses idées en énoncés, en tenant compte de leur enchainement logique, de la grammaire de la phrase et de l’orthographe.
5.F.1.1.d
Le choix de mots descriptifs permet de rendre un texte plus riche et explicite.
5.F.1.1.e
La révision permet d’assurer la clarté et la créativité du texte en vérifiant aussi : le choix de mots, l’utilisation de marqueurs de relation et d’organisateurs textuels, la fluidité des phrases, la pertinence des idées et des détails et l’organisation du texte.
5.F.1.1.f
Les étapes de révision et de correction peuvent être réalisées tout au long du processus d’écriture en ayant recours à : la compréhension de la grammaire et de l’orthographe, une grille de correction, des outils de référence numériques et non numériques et la rétroaction.
5.F.1.1.g
La publication peut comprendre des supports visuels ou sonores pour appuyer les idées et pour capter et retenir l’attention.
5.F.1.1.h
La mise en page inclut des éléments, p. ex. : la couleur, les titres, les espaces, les illustrations ou les images et la police des caractères.
5.F.1.1.i
L’entrainement est un facteur important dans l’atteinte des buts langagiers qu’on se fixe en tant qu’apprenant en immersion française.
5.F.1.1.j
L’établissement de buts personnels permet de surmonter des défis et d’atteindre des buts langagiers lors de la production de textes.
5.F.1.1.k
L’apprentissage du français permet de développer des caractéristiques communes aux membres de la communauté de l’immersion, p. ex. la capacité à surmonter des défis par rapport à l’écriture.
5.F.1.1.l
Des effets sonores affectent le rythme et la sonorité d’un texte et peuvent être créés par l’utilisation de : la rime, l’allitération et l’onomatopée.
5.F.1.1.m
Les figures de style sont des moyens de créer des effets ou d’exprimer des idées de façon imagée dans les textes.
5.F.1.1.n
La comparaison est une figure de style qui consiste à décrire les similarités ou les différences entre deux ou plusieurs éléments dans un texte.
5.F.1.1.o
Un fait est une information juste, reconnue comme étant vraie, qui peut être vérifiée.
5.F.1.1.p
Le droit d’auteur protège le travail de l’auteur et peut inclure de reprendre dans ses propres mots l’information pertinente et de noter sa source.
5.F.1.2.a
Une démarche d’écriture exige du temps, de la réflexion et une gestion du processus pour produire l’effet désiré.
5.F.1.2.b
Le partage d’une production écrite permet l’expression de soi en soulignant l’atteinte de buts et la capacité à surmonter des défis en tant qu’apprenant plurilingue.
5.F.1.2.c
Les effets sonores et les images créés par divers moyens permettent de produire des effets et d’enrichir la production de certains types de textes.
5.F.1.2.d
La recherche d’information permet de distinguer les faits des opinions et d’évaluer la pertinence de l’information.
5.F.1.3.a
Gérer, au besoin, les allers-retours entre les étapes du processus d’écriture selon l’intention de communication et le type de texte.
5.F.1.3.b
Optimiser l’utilisation de l’organisateur graphique tout au long du processus d’écriture.
5.F.1.3.c
Travailler l’élaboration de paragraphes pour appuyer l’organisation et le développement des idées.
5.F.1.3.d
Employer des marqueurs de relation et des organisateurs textuels qui contribuent à l’enchainement des idées et des phrases.
5.F.1.3.e
Réviser et apporter des modifications qui permettent d’améliorer la clarté du texte, d’ajouter des détails pertinents et de créer des effets.
5.F.1.3.f
Mettre en œuvre la révision et la correction du texte tout au long du processus d’écriture.
5.F.1.3.g
Prendre en compte la rétroaction pour apporter des modifications au texte.
5.F.1.3.h
Préparer la version de publication du texte en ajoutant, au besoin, des supports visuels ou auditifs.
5.F.1.3.i
Comparer et sélectionner diverses façons de partager le produit final de la production de ses textes.
5.F.1.3.j
Expliquer le rôle de l’établissement de buts langagiers et de l’entrainement pour surmonter des défis dans la production de textes.
5.F.1.3.k
Décrire les effets de l’atteinte de buts langagiers sur le développement et l’image de soi.
5.F.1.3.l
Utiliser la rime et l’onomatopée et en considérer les effets dans la production de textes.
5.F.1.3.m
S’exercer à utiliser l’allitération dans la production de textes.
5.F.1.3.n
S’exercer à produire des comparaisons.
5.F.1.3.o
Expliquer ce qui permet de déterminer si une information est un fait ou une opinion.
5.F.1.3.p
Trier et noter l’information vraie et pertinente provenant de plusieurs sources en français.
5.F.1.3.q
Reprendre l’information retenue dans ses propres mots.
5.F.1.3.r
Dresser la liste des sources utilisées.
5.F.1.3.s
Analyser des liens entre les nouvelles connaissances acquises et sa compréhension globale d’un sujet.
5.G.1.1.a
Les trois constituants de la phrase sont le : sujet, prédicat et complément.
5.G.1.1.b
Un complément du verbe fait partie du groupe verbal et apporte des précisions au verbe, p. ex. Il aime son chien.
5.G.1.1.c
Le complément du verbe suit généralement le verbe.
5.G.1.1.d
Les phrases peuvent être analysées et transformées à l’aide de manipulations de mots ou de groupes de mots, y compris : l’effacement, le déplacement et l’encadrement.
5.G.1.1.e
Le complément de phrase apporte des précisions sur le temps, le lieu ou les circonstances propres au message de la phrase et il peut être déplacé ou effacé.
5.G.1.1.f
L’effacement consiste à enlever un mot ou un groupe de mots pour distinguer les constituants de la phrase.
5.G.1.1.g
Le déplacement consiste à déplacer un mot ou un groupe de mots pour repérer le complément de phrase.
5.G.1.1.h
L’encadrement consiste à encadrer un mot ou un groupe de mots par C’est… qui pour déterminer le sujet.
5.G.1.1.i
L’encadrement consiste à encadrer un mot ou un groupe de mots par ne… pas pour déterminer le verbe.
5.G.1.1.j
La phrase de type impératif se termine par un point ou un point d’exclamation et sert à formuler : un ordre, un conseil, une interdiction et une demande.
5.G.1.1.k
Les signes de ponctuation comprennent : la virgule, le tiret, les points de suspension, les parenthèses et l’apostrophe.
5.G.1.1.l
La virgule peut servir à séparer des constituants de la phrase.
5.G.1.1.m
Le tiret peut indiquer un dialogue et le changement d’interlocuteur dans un texte écrit.
5.G.1.1.n
Les points de suspension sont trois points successifs qui peuvent marquer une phrase incomplète.
5.G.1.1.o
Les parenthèses encadrent une information complémentaire.
5.G.1.1.p
L’élision, marquée par l’apostrophe à l’écrit, est détectable à l’oral.
5.G.1.1.q
Les classes de mots appartiennent à deux catégories : les mots variables, qui changent de forme selon le genre, le nombre ou la personne et les mots invariables, qui s’écrivent toujours de la même manière.
5.G.1.1.r
Le déterminant possessif s’accorde avec le nom qu’il accompagne et varie selon le possesseur (p. ex. : Tes ballons – ballons est le nom et toi est le possesseur), y compris : mon, ma, mes; ton, ta, tes; son, sa, ses; notre, votre, leur et nos, vos, leurs.
5.G.1.1.s
Le déterminant démonstratif (p. ex. : ce, celui, celle, ceux) peut faire référence soit : à ce qui est montré et à ce qui a déjà été nommé.
5.G.1.1.t
Les pronoms personnels peuvent remplacer le sujet.
5.G.1.1.u
Les terminaisons en eur et en eux des mots au masculin se transforment généralement en euse au féminin.
5.G.1.1.v
La terminaison en teur des mots au masculin se transforme généralement en trice au féminin.
5.G.1.1.w
Des régularités dans le genre des noms peuvent en faciliter la rétention, p. ex. : les mots qui se terminent en al sont généralement masculins et les mots qui se terminent en ion sont généralement féminins.
5.G.1.1.x
Les marqueurs de relation et les organisateurs textuels sont des mots invariables.
5.G.1.1.y
Les verbes réguliers suivent les mêmes régularités dans leur conjugaison.
5.G.1.1.z
Les verbes irréguliers les plus fréquents comprennent avoir, être, finir, dire, aller et faire.
5.G.1.1.aa
Le passé composé est un temps composé, formé d’un auxiliaire, avoir ou être, et suivi d’un participe passé.
5.G.1.1.ab
Le participe passé des verbes réguliers se termine en -é.
5.G.1.1.ac
Le participe passé des verbes irréguliers se termine en -i, -u, -s, ou -t.
5.G.1.1.ad
L’imparfait est un temps simple, qui indique une action ou un état passé, qui peut durer, être habituel ou être répété.
5.G.1.1.ae
L’impératif (présent) est un temps simple qui se conjugue à trois personnes, sans l’utilisation des pronoms : 2e personne du singulier, 1re personne du pluriel et 2e personne du pluriel.
5.G.1.2.a
La grammaire de la phrase permet de comprendre et de produire des phrases dans des textes.
5.G.1.2.b
La ponctuation permet l’organisation des mots et des groupes de mots dans les phrases et dans les textes.
5.G.1.2.c
Les règles d’accord en français demeurent les mêmes pour les différents types et formes de phrases.
5.G.1.2.d
La conjugaison du verbe dépend de la personne (grammaticale) du sujet et du temps de verbe.
5.G.1.3.a
S’exercer à repérer les trois constituants dans des phrases de types et de formes variés et en discuter.
5.G.1.3.b
Distinguer des phrases, de types et de formes variés, employées en contexte.
5.G.1.3.c
Expérimenter l’utilisation, en contexte, de phrases de types et de formes variés.
5.G.1.3.d
S’exercer à transformer des phrases en divers types et formes de phrases.
5.G.1.3.e
Verbaliser des similarités et des différences dans la formation des phrases en français et en anglais.
5.G.1.3.f
Décrire l’utilisation et expérimenter l’emploi de divers signes de ponctuation dans des textes écrits.
5.G.1.3.g
S’exercer à utiliser l’élision dans des phrases, en contexte.
5.G.1.3.h
Verbaliser des similarités et des différences dans l’utilisation de la ponctuation en français et en anglais.
5.G.1.3.i
S’exercer à reconnaitre et à utiliser des mots variables et des mots invariables dans des phrases variées, en contexte.
5.G.1.3.j
Choisir des pronoms pour remplacer des sujets, y compris le pronom personnel on.
5.G.1.3.k
Spécifier les liens d’accord, en genre et en nombre, entre le nom ou le pronom et le déterminant ou l’adjectif dans des phrases, en contexte.
5.G.1.3.l
Expliquer et appliquer, en contexte, la règle générale de l’ajout d’uns à la plupart des noms et des adjectifs etcelle de l’ajout d’un x à la fin de certains noms et adjectifs au pluriel.
5.G.1.3.m
Expliquer et appliquer, en contexte, la règle générale de l’ajout d’un e à la plupart des noms oudes adjectifs et celle des mots qui se terminent déjà en e au masculin.
5.G.1.3.n
Appliquer, en contexte, la règle du pluriel des noms et des adjectifs qui se terminent en s, x ou z au singulier.
5.G.1.3.o
Prendre conscience des régularités qui facilitent la rétention du genre des noms.
5.G.1.3.p
Utiliser des indices, p. ex. le déterminant ou des outils de référence, pour confirmer le genre ou la classe d’un mot.
5.G.1.3.q
Décrire et expérimenter la transformation au féminin des mots masculins qui se terminent en eur, teur et eux.
5.G.1.3.r
Utiliser, en contexte, les verbes réguliers (employés couramment) conjugués au présent, quand le sujet les précède immédiatement.
5.G.1.3.s
Vérifier la conjugaison, en contexte, des verbes irréguliers avoir et être au présent, quand le sujet les précède immédiatement.
5.G.1.3.t
Utiliser, en contexte, les verbes irréguliers finir, dire, aller et faire conjugués au présent, quand le sujet les précède immédiatement.
5.G.1.3.u
S’exercer à utiliser les verbes réguliers et irréguliers (employés couramment) conjugués au passé composé.
5.G.1.3.v
Repérer des verbes réguliers et irréguliers (employés couramment) et discuter de leur conjugaison à l’imparfait.
5.G.1.3.w
Repérer des verbes réguliers et irréguliers (employés couramment) et discuter de leur conjugaison à l’impératif (présent).
5.G.1.3.x
Utiliser, au besoin, des verbes modèles et des outils numériques ou non numériques pour appuyer la conjugaison des verbes, en contexte.
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- Source document
- Grade 5 - French Immersion Language Arts and Literature
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- CC BY 4.0 US