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Grade 4 - French Immersion Language Arts and Literature
Standards
Showing 272 of 272 standards.
French Immersion Language Arts and Literature
4.A
Oral Communication: Oral comprehension and expression promote language development, positive relationships, and collaboration.
4.B
Vocabulary: Understanding the meaning and formation of words facilitates oral communication, reading, and writing.
4.C
Phonics: Understanding the relationships between phonemes and letters fosters the development of oral language, reading, and writing.
4.D
Text Organization: Different text genres are used to understand and express ideas, information, and perspectives about the world.
4.E
Text Comprehension: Understanding of ideas, perspectives, and cultures in texts is supported through the application of reading strategies and processes.
4.F
Reading Fluency: Reading fluency development promotes oral and written comprehension and expression.
4.G
Text Production: Text production and creativity allow for the sharing of ideas and information in various contexts.
4.H
Grammar: The understanding and application of grammar promotes effective communication of ideas when speaking and writing.
4.A.1
Students demonstrate active listening behaviours to understand messages on familiar topics in various authentic oral communication situations. Students express themselves orally in French on familiar topics, spontaneously and in a prepared manner, according to various purposes and authentic communication situations.
4.B.1
Students use knowledge of words, morphemes, phonics, and spelling patterns to support vocabulary development and word choice.
4.C.1
Students use grapheme-phoneme correspondences with automaticity to understand and write texts.
4.D.1
Students recognize types of fiction and non-fiction texts based on features, structures, and communication purposes.
4.E.1
Students apply reading strategies according to the text and demonstrate comprehension of various fiction and non-fiction texts.
4.F.1
Students read texts at their independent reading level with fluency, incorporating prosodic elements.
4.G.1
Students expand the application of the stages in the writing process to express their ideas in the production and sharing of fiction and non-fiction texts, considering communication purpose and target audience.
4.H.1
Students use some elements of sentence grammar to understand and produce sentences, with and without complements, in context.
4.A.1.2
Knowledge
4.A.1.2
Understanding
4.A.1.3
Skills & Procedures
4.B.1.1
Knowledge
4.B.1.2
Understanding
4.B.1.2.3
Skills & Procedures
4.C.1.1
Knowledge
4.C.1.2
Understanding
4.C.1.3
Skills & Procedures
4.D.1.1
Knowledge
4.D.1.2
Understanding
4.D.1.3
Skills & Procedures
4.E.1.1
Knowledge
4.E.1.2
Understanding
4.E.1.3
Skills & Procedures
4.F.1.1
Knowledge
4.F.1.1.g
Understanding
4.F.1.2
Skills & Procedures
4.G.1.1
Knowledge
4.G.1.2
Understanding
4.G.1.2.g
Skills & Procedures
4.H.1.1
Knowledge
4.H.1.2
Understanding
4.H.1.3
Skills & Procedures
4.A.1.1.a
La compréhension orale est favorisée par des comportements d’écoute active qui comprennent : réfléchir, faire des liens avec les connaissances antérieures, faire le suivi de sa compréhension, offrir des contributions verbales et demander des clarifications, au besoin et démontrer une ouverture d’esprit.
4.A.1.1.b
Le suivi de sa compréhension comprend la capacité à : suivre le fil des idées ou de l’information et détecter des bris de compréhension.
4.A.1.1.c
Des clarifications sont obtenues en demandant : de répéter, de ralentir le débit, de reformuler et d’expliquer.
4.A.1.1.d
Une ouverture d’esprit est une attitude qui fait preuve de respect, de compréhension et d’intérêt envers des idées et des opinions diverses.
4.A.1.1.e
Les critères d’une production orale prennent en compte l’intention de communication et le public cible ou l’interlocuteur.
4.A.1.1.f
Une prise de conscience des erreurs à l’oral peut inclure l’insertion de mots anglais dans le discours oral.
4.A.1.1.g
La valorisation du plurilinguisme est l’action de reconnaitre la valeur ou l’importance d’un apprentissage et comprend la prise de risque.
4.A.1.1.h
Des stratégies de dépannage permettent de s’exprimer, lorsqu’un mot ne fait pas encore partie de son vocabulaire, p. ex. : l’utilisation du langage non verbal, l’utilisation d’une image, l’explication du sens du mot et l’utilisation d’un antonyme ou d’un synonyme.
4.A.1.1.i
L’amélioration des habiletés langagières contribue au développement de la capacité d’expression et de la confiance en soi.
4.A.1.1.j
La conversation comprend (des conventions) : des formules qui permettent l’amorce (p. ex. : dis-moi, selon toi), le maintien (p. ex. : de plus, selon moi, si je comprends bien) et la clôture (p. ex. : donc, finalement) de la conversation, un langage collaboratif et inclusif et la considération des apports des participants.
4.A.1.1.k
Le langage inclusif vise à tenir compte de chacun et à inclure chacun (p. ex. : des personnes plutôt que des hommes).
4.A.1.1.l
Le cercle de la parole des Premières Nations, des Métis et des Inuits inclut des consignes qui font partie d’un protocole.
4.A.1.1.m
Les traditions orales transmettent des façons de penser qui sont diverses (p. ex. : la charade).
4.A.1.1.n
Les référents culturels de la francophonie peuvent être des activités ou produits, p. ex. : des beaux-arts, des sports, des symboles, tel un drapeau et de la nourriture.
4.A.1.1.o
Les référents culturels sont des éléments ou attributs signifiants pour une communauté.
4.A.1.1.p
Le français fait partie du patrimoine et de l’histoire de l’Alberta.
4.A.1.1.q
Les membres du programme d’immersion française forment l’une des communautés d’origines diverses qui font partie de la francophonie.
4.A.1.2.a
L’écoute active appuie la négociation de sens lors d’interactions.
4.A.1.2.b
La préparation et la réflexion au sujet de la production orale favorisent l’amélioration de la langue et une compréhension mutuelle.
4.A.1.2.c
Les échanges équilibrés et réciproques favorisent les conversations collaboratives et la compréhension mutuelle.
4.A.1.2.d
Le partage des traditions orales des communautés permet de préserver des connaissances significatives qui véhiculent des valeurs.
4.A.1.2.e
La participation aux activités culturelles de la francophonie permet de découvrir des référents culturels et contribue au développement de soi.
4.A.1.3.a
Présenter les idées principales des messages en les redisant dans ses mots.
4.A.1.3.b
S’exercer à faire le suivi de sa compréhension.
4.A.1.3.c
Demander des clarifications, au besoin.
4.A.1.3.d
Démontrer une ouverture d’esprit envers divers sujets par une implication dans des conversations.
4.A.1.3.e
Pratiquer l’autoévaluation de ses comportements d’écoute active.
4.A.1.3.f
Interagir en français de façon spontanée et préparée pour répondre à diverses intentions de communication.
4.A.1.3.g
Se référer à des critères qui appuient la préparation et la production orale.
4.A.1.3.h
Employer la prosodie, le langage non verbal, les supports visuels ou sonores, la prise de risque et des stratégies de dépannage pour favoriser la compréhension mutuelle.
4.A.1.3.i
Prendre conscience des erreurs les plus courantes à l’oral.
4.A.1.3.j
Reconnaitre les effets de l’apprentissage du français sur la confiance en soi.
4.A.1.3.k
Choisir des conventions propres au contexte pour amorcer, maintenir et clore des conversations sur divers sujets, y compris lors du cercle de la parole.
4.A.1.3.l
Faire ressortir et discuter des messages véhiculés dans des traditions orales provenant des communautés des Premières Nations, des Métis ou des Inuits et de la francophonie.
4.A.1.3.m
Démontrer une ouverture d’esprit envers des référents culturels de la francophonie.
4.A.1.3.n
Participer à des activités culturelles de la francophonie avec ses pairs.
4.A.1.3.o
Verbaliser l’influence de l’apprentissage de la langue française sur le caractère unique de sa personne.
4.B.1.1.a
Le suffixe est le morphème qui suit la racine dans la structure d’un mot, p. ex. : -age : feuillage, -tion : finition et -ée : poignée.
4.B.1.1.b
Les synonymes, les antonymes et les mots de même famille sont liés par le sens et peuvent avoir des morphèmes communs.
4.B.1.1.c
Certains mots ont plus d’un sens, p. ex. langue, lit.
4.B.1.1.d
Les homophones sont des mots qui ont la même prononciation, mais un sens différent, y compris : a, à, as, on, ont, mes, mais, mets et c’est, ces, ses.
4.B.1.1.e
Le contexte révèle généralement le sens des homophones et des mots ayant plus d’un sens.
4.B.1.1.f
Les vrais amis (congénères) sont des mots qui ont une forme et un sens similaires en français et en anglais (ou autre langue connue), p. ex. : anglais : acteur/actor, beauté/beauty, espagnol : éléphant/elefante, portugais : année/ano et tagalog : bicyclette/bisikleta.
4.B.1.1.g
L’utilisation régulière de nouveaux mots en facilite la rétention.
4.B.1.1.h
Les homophones peuvent avoir une orthographe différente.
4.B.1.1.i
Les morphèmes suivent des régularités dans leur orthographe.
4.B.1.1.j
Les régularités orthographiques fournissent des indices pour décoder et écrire de nouveaux mots.
4.B.1.1.k
Les connaissances et des outils de référence aident à écrire des mots.
4.B.1.2.a
L’apprentissage de nouveaux mots facilite la participation aux interactions sociales, la compréhension de textes et l’apprentissage du contenu des matières (scolaires).
4.B.1.2.b
L’étude des morphèmes et des correspondances phonographiques permet de reconnaitre les régularités orthographiques à l’intérieur de nouveaux mots.
4.B.1.2.a
Faire des liens de forme et de sens entre des mots ayant une racine, des préfixes ou des suffixes communs.
4.B.1.2.b
Discuter des indices qui permettent de déterminer le sens des homophones et des mots ayant plusieurs sens rencontrés couramment dans des textes.
4.B.1.2.c
Décrire des moyens d’apprendre et de se souvenir de nouveaux mots.
4.B.1.2.d
Expliquer le sens et expérimenter l’utilisation, en contexte, d’un nombre croissant de nouveaux mots et d’expressions utiles dans des situations variées, y compris des mots de niveaux 1, 2 et 3.
4.B.1.2.e
Expérimenter l’utilisation de synonymes, d’antonymes et de mots de la même famille pour décrire le sens de certains mots.
4.B.1.2.f
Discuter de l’emploi de vrais amis utilisés fréquemment.
4.B.1.2.g
Se servir des outils de référence pour vérifier le sens des mots.
4.B.1.2.h
Discuter de l’orthographe de certains homophones fréquents.
4.B.1.2.i
Intégrer ses connaissances de la phonographie, des morphèmes et des régularités orthographiques pour lire et écrire des mots, en contexte.
4.B.1.2.j
Choisir et utiliser des outils de référence appropriés pour vérifier l’écriture des mots.
4.C.1.1.a
Les correspondances graphèmes-phonèmes sont des régularités orthographiques.
4.C.1.1.b
La prononciation de graphèmes peut être : muette à la fin des mots, indépendante des lettres avoisinantes, dépendante des lettres avoisinantes et dépendante d’un signe orthographique.
4.A.1.2.a
La maitrise des correspondances graphèmes-phonèmes constitue un point d’appui essentiel au développement de la compréhension de textes et de la fluidité en écriture.
4.A.1.3.a
Développer une automaticité dans toutes les correspondances graphèmes-phonèmes lors de la lecture et de l’écriture.
4.A.1.2.b
Décoder de nouveaux mots de longueurs variées.
4.D.1.1.a
L’intention de communication d’un texte littéraire ou courant peut être : de raconter, de divertir, d’émouvoir, d’informer et de décrire.
4.D.1.1.b
L’intention de communication des textes littéraires de types narratif, poétique et dialogal peut être de raconter une histoire, de divertir ou d’émouvoir.
4.D.1.1.c
Les caractéristiques des textes de type narratif comprennent : des personnages, des lieux, des actions, un temps, un problème ou une intrigue et un narrateur.
4.D.1.1.d
Les textes littéraires de type narratif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. le récit d’aventures et la bande dessinée.
4.D.1.1.e
Les caractéristiques des textes de type poétique comprennent : des refrains, la répétition de sons, de syllabes ou de mots pour créer du rythme, des sonorités ou de la musicalité, des rimes et des mots pour amuser ou pour faire rire.
4.D.1.1.f
Les textes de type poétique peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. le virelangue et la charade.
4.D.1.1.g
Les caractéristiques des textes de type dialogal comprennent : les échanges verbaux à l’intérieur de textes à l’oral ou à l’écrit, la présence des tirets et la bulle (phylactère).
4.D.1.1.h
Les textes de type dialogal peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. la présentation orale et la bande dessinée.
4.D.1.1.i
L’intention de communication des textes de type descriptif est de décrire une réalité en répondant aux questions quoi et comment.
4.D.1.1.j
Les caractéristiques des textes de type descriptif comprennent : un sujet ou un thème, des idées principales qui représentent souvent des catégories et des détails qui apportent des précisions.
4.D.1.1.k
Les textes de type descriptif peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : la fiche d’information, la maquette, la recette et le dictionnaire usuel.
4.D.1.1.l
La structure de textes de type narratif comprend les étapes suivantes : la situation initiale, qui peut présenter les personnages, le lieu et le temps de l’action, l’élément déclencheur, qui est un problème ou une intrigue qui survient, le développement, qui est la succession des actions et le dénouement, qui met fin au problème ou à l’intrigue.
4.D.1.1.m
La structure de textes de type descriptif comprend : l’introduction du sujet, le développement d’aspects et de sous-aspects et la conclusion qui résume des aspects.
4.D.1.1.n
L’organisateur graphique est un outil qui peut faciliter la mise en évidence de la structure d’un texte.
4.D.1.1.o
Le paragraphe met en évidence l’organisation d’un texte.
4.D.1.2.a
L’intention de communication et les caractéristiques permettent de déterminer le type d’un texte numérique ou non numérique.
4.D.1.2.b
La structure du texte met en relief l’intention de communication et l’organisation des idées et de l’information.
4.D.1.2.a
Déceler l’intention de communication et le public cible de divers textes.
4.D.1.2.b
Discuter des similarités et des différences entre des textes de types narratif, poétique, dialogal et descriptif.
4.D.1.2.c
Discerner des caractéristiques présentes dans des textes de type narratif.
4.D.1.2.d
Discerner des caractéristiques présentes dans des textes de type poétique.
4.D.1.2.e
Discerner des caractéristiques présentes dans des textes de type dialogal.
4.D.1.2.f
Discerner des caractéristiques présentes dans des textes de type descriptif.
4.D.1.2.g
Déterminer les étapes de la structure de textes de type narratif.
4.D.1.2.h
Déterminer les parties de la structure de textes de type descriptif.
4.D.1.2.i
Expérimenter l’utilisation des organisateurs graphiques pour schématiser la structure de différents textes.
4.E.1.1.a
Le repérage d’indices reliés aux caractéristiques et à la structure du texte est une stratégie qui facilite la prélecture et la compréhension.
4.E.1.1.b
La lecture est appuyée par des stratégies de compréhension additionnelles, y compris : les liens avec les connaissances antérieures, les expériences personnelles et d'autres textes, le repérage des marqueurs de relation, la référence au contexte, l’ajustement des prédictions, la relecture et le repérage de l’organisation des idées.
4.E.1.1.c
Les marqueurs de relation sont des mots-clés qui démontrent des liens entre les idées à l’intérieur d’une phrase ou entre des phrases dans un texte, p. ex. et, ou, ensuite, comme.
4.E.1.1.d
Le contexte est l’information fournie qui favorise la compréhension d’un mot, d’une phrase, d’une idée ou d’un texte.
4.E.1.1.e
Le contexte comprend : le temps, le lieu, l’intention de communication et le public cible.
4.E.1.1.f
La gestion de la compréhension comprend : suivre le déroulement des énoncés, prendre conscience d’un bris de compréhension, utiliser des stratégies pour résoudre un bris de compréhension et utiliser des stratégies pour maintenir sa compréhension tout au long de la lecture.
4.E.1.1.g
L’idée principale d’un texte est le sujet du texte ou le message que l’auteur veut exprimer.
4.E.1.1.h
Une réaction au texte peut impliquer une pensée critique, p. ex. : prendre conscience de caractéristiques propres à des peuples, se faire une opinion, faire des liens avec ses expériences et s’identifier aux personnages.
4.E.1.1.i
Les textes de la francophonie et une identification à l’égard des diverses communautés d’expression française peuvent contribuer au développement de soi.
4.E.1.1.j
Une opinion est une façon de percevoir les choses et peut dépendre du vécu.
4.E.1.2.a
La compréhension des textes et la lecture autonome s’appuient sur l’utilisation de stratégies qui permettent de gérer la lecture.
4.E.1.2.b
La réaction aux textes reflète l’expression de soi.
4.E.1.3.a
Résumer les idées principales de textes littéraires et courants dont le contenu est adapté au niveau scolaire.
4.E.1.3.b
Employer des stratégies qui appuient la prélecture et la lecture de textes pour gérer sa compréhension.
4.E.1.3.c
Interpréter et utiliser des indices fournis par le contexte pour approfondir sa compréhension d’un texte.
4.E.1.3.d
S’exercer à résoudre un bris de compréhension.
4.E.1.3.e
Appliquer ses connaissances sur l’organisation de paragraphes et de textes pour appuyer sa compréhension.
4.E.1.3.f
Faire part de sa réaction à divers textes en s’appuyant sur des extraits, y compris des textes qui proviennent de la francophonie et des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.
4.E.1.3.g
Reconnaitre des caractéristiques des peuples et cultures de la francophonie et des Premières Nations, des Métis ou des Inuits en discutant de diverses œuvres.
4.E.1.3.h
Partager des opinions par rapport aux choix de textes qui motivent sa lecture.
4.F.1.1.a
Le développement d’automatismes en lecture réduit les efforts de décodage.
4.F.1.1.b
Le rythme de lecture varie en fonction du message.
4.F.1.1.c
Les composantes de la prosodie qui favorisent la lecture expressive comprennent : les pauses, l’intonation, le rythme et la liaison.
4.F.1.1.d
Une liaison est la prononciation de la consonne finale d’un mot, habituellement non prononcée, avec la voyelle initiale du mot suivant, y compris le h muet.
4.F.1.1.e
La lecture à voix haute sert de réflexion immédiate, car elle permet de prendre conscience et de corriger des méprises.
4.F.1.1.f
Des lecteurs modèles favorisent l’atteinte d’une lecture fluide à voix haute.
4.F.1.1.h
Les automatismes en lecture qui favorisent la fluidité se développent grâce à la pratique régulière de la lecture.
4.F.1.1.i
La fluidité en lecture permet de se concentrer sur la compréhension.
4.F.1.2.a
Lire avec automaticité et comprendre 300 des mots les plus fréquents (appris en 1re à 3e année) dans des textes.
4.F.1.2.b
Décoder aisément de nouveaux mots.
4.F.1.2.c
Lire des textes qui correspondent à son niveau de lecture autonome avec une certaine fluidité en incorporant des composantes de la prosodie.
4.F.1.2.d
Discuter du rôle du suivi de sa compréhension dans la prise de conscience des méprises.
4.F.1.2.e
Expérimenter des éléments de la lecture expressive des lecteurs modèles.
4.G.1.1.a
La génération et l’élaboration des idées et des détails sont aussi appuyées par : les expériences personnelles, les textes, la recherche d’information, les émotions, les intérêts, les opinions et les individus.
4.G.1.1.b
Le processus d’écriture comprend des allers-retours entre les étapes de : planification, mise en texte, révision, correction et publication.
4.G.1.1.c
L’organisateur graphique ou le plan permet de planifier son texte de façon ordonnée et logique.
4.G.1.1.d
La mise en texte implique la consultation de la planification, des retours en arrière et des ajustements dans le déroulement de l’écriture.
4.G.1.1.e
Un paragraphe est un ensemble de phrases qui contient des détails reliés à une même idée.
4.G.1.1.f
Le choix de mots descriptifs permet de rendre un texte plus clair ou précis.
4.G.1.1.g
La révision permet d’apporter des mises au point dans son texte en vérifiant : l’intention de communication et le public cible, le choix de mots, y compris les marqueurs de relation, le développement et, l’enchainement des idées et la fluidité des phrases.
4.G.1.1.h
Des outils de référence numériques et non numériques permettent d’apporter des corrections.
4.G.1.1.i
La rétroaction offre un appui lors de la planification, de la révision et de la correction.
4.G.1.1.j
La publication consiste à faire la mise en page en tenant compte des caractéristiques et de la structure du texte.
4.G.1.1.k
La mise en page est la disposition des parties du texte.
4.G.1.1.l
Le partage d’un texte permet de souligner la prise de risque et l’engagement exigés par l’apprentissage d’une langue additionnelle.
4.G.1.1.m
Des effets sonores peuvent être créés dans les textes par l’utilisation de : la rime, l’allitération et l’onomatopée.
4.G.1.1.n
L’allitération est la répétition de consonnes dans une séquence de mots.
4.G.1.1.o
L’onomatopée est un mot qui imite un bruit réel.
4.G.1.1.p
Une information pertinente est un renseignement utile en lien avec le sujet.
4.G.1.1.q
Une information vraie peut être vérifiée.
4.G.1.1.r
Le processus de recherche d’information exige de choisir l’information vraie et pertinente à l’atteinte d’un but.
4.G.1.1.s
L’élaboration d’une liste des sources fait partie du respect du droit d’auteur.
4.G.1.1.t
La compréhension des liens entre les mots et des règles qui déterminent l’orthographe facilite la fluidité en écriture.
4.G.1.2.a
La génération et l’élaboration d’idées offrent la possibilité à l’auteur d’exprimer sa créativité en faisant des choix pour produire un texte, selon le sujet, l’intention de communication et le public cible.
4.G.1.2.b
L’écriture est un processus dynamique dont les étapes s’appuient sur les connaissances de l’organisation et des types de textes.
4.G.1.2.c
Le partage d’un texte est une occasion d’expression de soi qui favorise un sentiment de satisfaction et de fierté personnelle envers ses progrès en tant qu’apprenant plurilingue.
4.G.1.2.d
La sonorité d’un texte, créée par des effets sonores, apporte des touches particulières à un texte.
4.G.1.2.e
La recherche d’information est une façon d’atteindre un but qui peut inclure la réponse à une question, la résolution d’un problème ou l’obtention d’un résultat.
4.G.1.2.f
La fluidité en écriture permet de concentrer sa pensée sur les idées ou la tâche à accomplir.
4.G.1.2.h
Mettre en œuvre divers moyens qui appuient la génération et l’élaboration des idées et des détails qui les appuient.
4.G.1.2.i
Appliquer les étapes du processus d’écriture dans la production de textes littéraires et courants.
4.G.1.2.j
Privilégier des organisateurs graphiques ou des plans pour planifier, ordonner et réviser ses idées tout au long du processus d’écriture.
4.G.1.2.k
Prendre en compte l’intention de communication et le public cible lors de la planification.
4.G.1.2.l
Produire des paragraphes qui contiennent les détails pertinents sur une idée.
4.G.1.2.m
Réviser son texte dans le but de l’améliorer.
4.G.1.2.n
Profiter de toute rétroaction pour améliorer ses textes.
4.G.1.2.o
Mettre en pratique ses connaissances de l’orthographe et de la grammaire de la phrase pour apporter des corrections au texte.
4.G.1.2.p
Choisir et utiliser des outils de référence numériques et non numériques pour apporter des corrections au texte.
4.G.1.2.q
Préparer la version de publication du texte en explorant une mise en page qui tient compte du type de texte, de l’apparence visuelle et de la lisibilité.
4.G.1.2.r
Mettre en pratique différentes formes de partage de ses textes.
4.G.1.2.s
Expliquer l’influence des efforts consacrés à la production de textes sur son propre développement langagier et celui de ses pairs.
4.G.1.2.t
Verbaliser l’influence de ses progrès sur le caractère unique de sa personne.
4.G.1.2.u
Utiliser la rime dans la production de textes.
4.G.1.2.v
S’exercer à produire des allitérations.
4.G.1.2.w
S’exercer à utiliser des onomatopées dans des textes.
4.G.1.2.x
S’interroger sur l’utilité de l’information en lien avec le but de la recherche.
4.G.1.2.y
Décrire ce qui permet de déterminer si une information est vraie ou fausse.
4.G.1.2.z
Trier et noter l’information pertinente provenant de plusieurs sources en français.
4.G.1.2.aa
S’exercer à dresser une liste des sources.
4.G.1.2.ab
Intégrer l’information pertinente aux connaissances antérieures.
4.G.1.2.ac
Employer des stratégies pour améliorer la lisibilité et la fluidité en écriture, y compris à l’aide d’outils numériques de production de textes.
4.H.1.1.a
Le rôle que joue un mot ou un groupe de mots dans une phrase s’appelle la fonction.
4.H.1.1.b
Le groupe nominal (GN) peut remplir la fonction de sujet qui détermine la conjugaison du verbe.
4.H.1.1.c
Le groupe verbal (GV), qui remplit la fonction prédicat, est formé d’un verbe parfois suivi de mots qui le précisent.
4.H.1.1.d
Le complément de phrase est aussi un constituant de la phrase de base, mais il est facultatif.
4.H.1.1.e
Un complément de phrase apporte des précisions à la phrase, p. ex. Je vais à la même école depuis trois ans.
4.H.1.1.f
La phrase de type déclaratif peut être transformée en phrase de type interrogatif ou exclamatif.
4.H.1.1.g
La phrase de forme positive peut être transformée en phrase de forme négative.
4.H.1.1.h
La virgule sépare les mots d’une énumération contenant au moins trois mots ou groupes de mots.
4.H.1.1.i
L’apostrophe marque l’effacement d’une voyelle (l’élision).
4.H.1.1.j
Les classes de mots variables comprennent : le déterminant possessif, le déterminant démonstratif, le nom, l’adjectif, le verbe et le pronom personnel.
4.H.1.1.k
Les mots variables suivent des règles d’accord selon la classe à laquelle ils appartiennent.
4.H.1.1.l
Le pronom personnel est au singulier ou au pluriel et désigne : la première personne : je, nous, la deuxième personne : tu, vous et la troisième personne : elle, il, on, elles, ils.
4.H.1.1.m
Le pronom personnel sujet dans une phrase varie selon la ou les personnes ou le ou les noms qu’il remplace.
4.H.1.1.n
Les déterminants démonstratifs indiquent précisément un ou des êtres vivants, une ou des choses ou un ou des endroits, y compris : cette, ce, cet et ces.
4.H.1.1.o
L’accord de certains mots variables entraine la transformation de leur terminaison.
4.H.1.1.p
Les noms et les adjectifs qui se terminent en au, eau, eu, œu et certains noms en ou au singulier se terminent avec un x au pluriel.
4.H.1.1.q
Les noms et les adjectifs qui se terminent en s, x ou z au singulier ne changent pas au pluriel.
4.H.1.1.r
Les noms et les adjectifs qui se terminent en e au masculin ne changent pas au féminin.
4.H.1.1.s
La terminaison d’un verbe peut indiquer la personne, le nombre et le temps du verbe.
4.H.1.1.t
Le verbe attributif (auparavant appelé d’état) exprime un état ouune manière d’être du sujet.
4.H.1.1.u
Les verbes réguliers sont tous ceux qui se terminent en er (à l’infinitif), sauf aller.
4.H.1.1.v
Les verbes irréguliers, dont le radical change de forme et dont la terminaison n’est pas régulière, comprennent : les verbes qui se terminent en ir, les verbes qui se terminent en oir, les verbes qui se terminent en re et le verbe aller.
4.H.1.1.w
Les verbes irréguliers les plus fréquents comprennent avoir, être, finir, dire?et aller.
4.H.1.1.x
Les verbes avoir et être?sont nommés auxiliaires lorsqu’ils font partie d’un verbe au passé composé.
4.H.1.1.y
Le temps d’un verbe peut être simple lorsqu’il est formé d’un seul verbe, et composé lorsque le verbe est accompagné d’un auxiliaire.
4.H.1.1.z
Le passé composé indique une action ou un état quia eu lieu dans le passé.
4.H.1.1.aa
Des verbes modèles, y compris finir, appuient la conjugaison des verbes qui suivent les mêmes régularités dans leur conjugaison.
4.H.1.1.ab
La conjugaison des verbes peut être vérifiée à l’aide d’outils numériques et non numériques.
4.H.1.2.a
La grammaire de la phrase permet d’approfondir la compréhension de la structure des phrases.
4.H.1.2.b
Les signes de ponctuation offrent des indices sur l’intention communiquée par la phrase.
4.H.1.2.c
La grammaire de la phrase contient des règles qui déterminent comment accorder les mots variables.
4.H.1.2.d
Les terminaisons des verbes réguliers et irréguliers sont prévisibles selon la personne et le temps du verbe.
4.H.1.3.a
S’exercer à formuler des phrases de types déclaratif, interrogatif et exclamatif.
4.H.1.3.b
Expérimenter l’utilisation de phrases de forme positive et de forme négative, en contexte.
4.H.1.3.c
Discuter des similarités et des différences dans la formation des phrases en français et en anglais.
4.H.1.3.d
Discerner l’emploi du signe de ponctuation selon le type de phrase, en contexte.
4.H.1.3.e
Repérer et employer la virgule dans des phrases contenant une énumération, en contexte.
4.H.1.3.f
Démontrer des automatismes dans l’emploi de l’apostrophe dans les phrases, en contexte.
4.H.1.3.g
S’exercer à reconnaitre et employer des déterminants, des noms, des pronoms personnels, des verbes et des adjectifs dans des phrases variées, en contexte.
4.H.1.3.h
Établir le lien entre le genre et le nombre de l’adjectif et le nom qu’il qualifie.
4.H.1.3.i
S’exercer à établir le lien entre le genre et le nombre du pronom personnel sujet et le nom qu’il remplace.
4.H.1.3.j
Établir le lien entre le genre et le nombre du nom commun et de son déterminant, y compris des déterminants possessifs et démonstratifs dans des phrases, en contexte.
4.H.1.3.k
Associer les pronoms personnels sujets utilisés dans des phrases à leur personne (grammaticale), en contexte.
4.H.1.3.l
Expérimenter l’emploi des pronoms personnels sujets qui remplacent des noms communs ou propres, en contexte.
4.H.1.3.m
Décrire l’utilisation du déterminant démonstratif, en contexte.
4.H.1.3.n
Repérer et expérimenter, en contexte, l’ajout du x à la fin de certains noms et adjectifs au pluriel.
4.H.1.3.o
Expérimenter l’emploi de la règle générale de l’ajout d’un s à la forme plurielle de la plupart des noms et des adjectifs, en contexte.
4.H.1.3.p
Repérer et expérimenter l’emploi, en contexte, du pluriel des noms et des adjectifs qui se terminent en s, x ou z au singulier.
4.H.1.3.q
Repérer et expérimenter l’emploi, en contexte, du féminin des noms et des adjectifs qui se terminent en e au masculin.
4.H.1.3.r
Expérimenter, en contexte, l’emploi de la règle générale de l’ajout d’un e à la forme masculine pour obtenir la forme féminine de la plupart des adjectifs et de certains noms.
4.H.1.3.s
S’exercer à utiliser des indices, p. ex. le déterminant ou des outils de référence, pour confirmer le genre ou la classe d’un mot.
4.H.1.3.t
Distinguer des verbes attributifs desverbes d’action.
4.H.1.3.u
Expérimenter l’utilisation, en contexte, des verbes réguliers (employés couramment) conjugués au présent.
4.H.1.3.v
S’exercer à utiliser les verbes irréguliers finir, dire?et aller?conjugués au présent.
4.H.1.3.w
Utiliser, en contexte, les verbes irréguliers avoir?et être?conjugués au présent quand le sujet les précède immédiatement.
4.H.1.3.x
Repérer et décrire des régularités dans la conjugaison des verbes réguliers (employés couramment) au passé composé.
4.H.1.3.y
Repérer les verbes irréguliers avoir, être, finir, dire et aller et discuter de leur conjugaison au passé composé.
4.H.1.3.x
Utiliser de façon juste les verbes avoir?et être?dans les expressions usuelles àl’oral et à l’écrit.
4.H.1.3.aa
S’exercer à utiliser des verbes modèles et des outils numériques ou non numériques pour appuyer la conjugaison des verbes, en contexte.
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- Grade 4 - French Immersion Language Arts and Literature
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