Standard set
Grade 2 - French Immersion Language Arts and Literature
Standards
Showing 237 of 237 standards.
French Immersion Language Arts and Literature
2.A
Oral Communication: Oral comprehension and expression promote language development, positive relationships, and collaboration.
2.B
Vocabulary: Understanding the meaning and formation of words facilitates oral communication, reading, and writing.
2.C
Phonological awareness: The ability to discern and manipulate the sounds of oral language supports vocabulary, reading, and writing.
2.D
Phonics: Understanding the relationships between phonemes and letters fosters the development of oral language, reading, and writing.
2.E
Text Organization: Different text genres are used to understand and express ideas, information, and perspectives about the world.
2.F
Text Comprehension: Understanding of ideas, perspectives, and cultures in texts is supported through the application of reading strategies and processes.
2.G
Reading Fluency: Reading fluency development promotes oral and written comprehension and expression.
2.H
Text Production: Text production and creativity allow for the sharing of ideas and information in various contexts.
2.I
Grammar: The understanding and application of grammar promotes effective communication of ideas when speaking and writing.
2.A.1
Students derive the overall meaning of messages on familiar topics in authentic oral communication situations. Students express themselves orally in French on familiar topics by formulating basic sentences in authentic communication situations.
2.B.1
Students integrate new words into their vocabulary and learn spelling patterns to understand and express themselves.
2.C.1
Students modify words and sentences orally by manipulating phonemes, syllables, and words.
2.D.1
Students apply their knowledge of grapheme-phoneme correspondences to decode, read, and write short texts.
2.E.1
Students associate features with fiction and non-fiction texts and explore their organization.
2.F.1
Students demonstrate an understanding of the overall meaning of messages in various short fiction and non-fiction texts.
2.G.1
Students read words and sentences accurately and learn to read short written texts expressively.
2.H.1
Students produce and share fiction and non-fiction texts to express their ideas using several sentences, while experimenting with the text production process.
2.I.1
Students demonstrate understanding of the essential elements of basic sentences and use them to understand and express themselves in context, referring to model sentences as necessary.
2.A.1.1
Knowledge
2.A.1.2
Understanding
2.A.1.3
Skills & Procedures
2.B.1.1
Knowledge
2.B.1.2
Understanding
2.B.1.3
Skills & Procedures
2.C.1.1
Knowledge
2.C.1.2
Understanding
2.C.1.3
Skills & Procedures
2.D.1.1
Knowledge
2.D.1.2
Understanding
2.D.1.3
Skills & Procedures
2.E.1.1
Knowledge
2.E.1.2
Understanding
2.E.1.3
Skills & Procedures
2.F.1.1
Knowledge
2.F.1.2
Understanding
2.F.1.3
Skills & Procedures
2.G.1.1
Knowledge
2.G.1.2
Understanding
2.G.1.3
Skills & Procedures
2.H.1.1
Knowledge
2.H.1.2
Understanding
2.H.1.3
Skills & Procedures
2.I.1.1
Knowledge
2.I.1.2
Understanding
2.I.1.3
Skills & Procedures
2.A.1.1.a
La compréhension orale est favorisée par des comportements d’écoute active qui comprennent : poser des questions, être attentif et visualiser le fil des idées et noter un bris de compréhension.
2.A.1.1.b
L’utilisation du langage peut permettre de démontrer sa compréhension et son intérêt envers un sujet.
2.A.1.1.c
La production orale peut être appuyée par la prosodie, le langage non verbal et des supports visuels.
2.A.1.1.d
La prosodie est la manière de parler et comprend le volume et les variations de la voix.
2.A.1.1.e
La prise de risque implique une volonté de s’exprimer en français malgré la possibilité d’erreurs à l’oral.
2.A.1.1.f
La production orale peut être une présentation de textes en français, p. ex. : une comptine, un poème et un conte ou un récit.
2.A.1.1.g
Des stratégies (de dépannage) permettent de s’exprimer, même lorsqu’un mot ne fait pas encore partie de son vocabulaire, p. ex. l’utilisation : d’un mot dont la signification est proche, du langage non verbal et d’une image.
2.A.1.1.h
La communication est favorisée par un langage collaboratif, y compris : les formules de politesse et de salutation, le respect du tour de parole, la démonstration de l’intérêt et l’amorce d’une conversation (p. ex. : qu’est-ce que, pourquoi, dis-moi).
2.A.1.1.i
Le cercle de la parole est une pratique traditionnelle des Premières Nations, des Métis et des Inuits adaptée par d’autres groupes.
2.A.1.1.j
Le cercle de la parole permet de partager des idées ou de l’information, où chacun a un tour de parole souvent indiqué par la circulation d’un objet.
2.A.1.1.k
Certaines traditions orales révèlent des connaissances importantes du monde naturel, p. ex. les : saisons, plantes et stades de la vie.
2.A.1.1.l
Les traditions orales de la francophonie, p. ex. les chansons et les contes ou les récits, transmettent la langue française en racontant des histoires imaginaires ou historiques.
2.A.1.1.m
Le contexte d’immersion française permet de vivre des activités en français, p. ex. des : spectacles, fêtes et célébrations, excursions.
2.A.1.1.n
Le langage compris ou parlé par un individu influence les expériences qu’il vit.
2.A.1.2.a
L’écoute active aide à développer et à maintenir des relations positives.
2.A.1.2.b
La production orale, spontanée ou préparée, favorise le développement de la langue.
2.A.1.2.c
Un langage verbal et un langage non verbal collaboratifs favorisent la compréhension des autres.
2.A.1.2.d
Le cercle de la parole permet d’expérimenter une tradition des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.
2.A.1.2.e
Les traditions orales permettent de partager des informations au sujet du passé et du présent.
2.A.1.2.f
La participation aux activités en contexte d’immersion française influence les expériences personnelles.
2.A.1.3.a
Interpréter le langage verbal et le langage non verbal pour suivre au moins trois consignes ou pour comprendre des messages.
2.A.1.3.b
Décrire l’influence de l’écoute active dans la compréhension.
2.A.1.3.c
Adopter des comportements d’écoute active pour dégager le sens des messages.
2.A.1.3.d
S’exprimer en français de façon spontanée avec ses pairs, dans les situations d’apprentissage et pour se divertir.
2.A.1.3.e
Expérimenter l’utilisation du non verbal et des supports visuels pour créer des effets.
2.A.1.3.f
Verbaliser le rôle de la prise de risque dans l’apprentissage du français.
2.A.1.3.g
Discuter et utiliser des stratégies (de dépannage) pour s’exprimer lorsqu’un mot ne fait pas encore partie de son vocabulaire.
2.A.1.3.h
Prendre en compte le langage collaboratif lors d’échanges sur divers sujets, y compris lors du cercle de la parole.
2.A.1.3.i
Discuter des messages présentés dans les traditions orales provenant des Premières Nations, des Métis ou des Inuits et de la francophonie.
2.A.1.3.j
Expérimenter des activités variées issues de la francophonie.
2.A.1.3.k
Discuter de l’influence des expériences vécues en français sur l’individu.
2.B.1.1.a
Le sens des mots peut permettre de les placer en catégories, p. ex. : des noms propres, des noms communs, des adjectifs et des verbes.
2.B.1.1.b
Le sens de nouveaux mots peut être compris par la lecture, les jeux, les activités et les conversations (vocabulaire de niveaux 1 et 2).
2.B.1.1.c
Certains mots sont utiles à plusieurs matières (niveau 2, p. ex. : surface, créativité, étape) et d’autres sont spécifiques à une matière (niveau 3, p. ex. : vibration sonore, quantité, fraction).
2.B.1.1.d
Des mots connus dans une autre langue peuvent nous aider à comprendre des mots en français (p. ex. : papier/paper, lion/lion, recycler/recycle, souligner/underline).
2.B.1.1.e
Des régularités orthographiques sont des modèles qui se répètent dans plusieurs mots, y compris : la correspondance des graphèmes et des phonèmes, la présence d’au moins une voyelle dans chaque mot et l’absence de doubles consonnes au début d’un mot.
2.B.1.1.f
L’ordre alphabétique peut servir à organiser les mots.
2.B.1.1.g
Des connaissances et des outils de référence aident à orthographier des mots.
2.B.1.2.a
Des mots sont reliés les uns aux autres par le sens.
2.B.1.2.b
Des régularités dans l’orthographe facilitent la lecture et l’écriture des mots.
2.B.1.3.a
Discuter du sens et expérimenter l’utilisation, en contexte, d’un nombre croissant de nouveaux mots et d’expressions utiles, y compris des mots de niveaux 1, 2 et 3.
2.B.1.3.b
Employer des mots connus pour comprendre le sens de nouveaux mots, y compris des mots d’une autre langue.
2.B.1.3.c
Trier des mots en catégories selon leur sens.
2.B.1.3.d
Mettre en pratique ses connaissances des régularités orthographiques et de la phonographie pour écrire des mots lors de la production de courts textes.
2.B.1.3.e
Écrire, en contexte, des mots fréquents à l’aide de ses connaissances antérieures.
2.B.1.3.f
Placer des mots en ordre alphabétique en utilisant la première lettre du mot.
2.B.1.3.g
S’exercer à utiliser certains outils de référence pour appuyer l’écriture de mots, en contexte.
2.C.1.1.a
Deux phrases peuvent se terminer par des mots qui riment.
2.C.1.1.b
Les phonèmes ou les syllabes sont placés dans un ordre précis pour former un mot.
2.C.1.1.c
Le placement et le choix des mots d’une phrase contribuent à donner le sens de la phrase.
2.C.1.2.a
La répétition du son final dans des phrases peut créer des effets.
2.C.1.2.b
La manipulation des phonèmes ou des syllabes dans des mots facilite la lecture et
2.C.1.2.c
Le sens de chaque phrase varie selon les mots qu’elle contient et leur ordre.
2.C.1.3.a
Trouver dans son vocabulaire un mot qui rime avec un mot donné.
2.C.1.3.b
Reconnaitre des rimes dans des textes à l’oral, p. ex. des comptines, des chansons et des poèmes.
2.C.1.3.c
Produire des rimes.
2.C.1.3.d
Trouver dans son vocabulaire un mot qui contient le son ou la syllabe cible.
2.C.1.3.e
Manipuler (fusionner, ajouter, supprimer, déplacer et remplacer) des phonèmes et des syllabes dans des mots à l’oral.
2.C.1.3.f
Jouer avec des mots (fusionner, ajouter, supprimer, déplacer et remplacer) pour former des phrases.
2.D.1.1.a
Certaines lettres d’un mot peuvent être muettes, surtout en position finale, p. ex. chaud, saut.
2.D.1.1.b
Un graphème est une lettre ou un groupe de lettres qui représente typiquement un phonème.
2.D.1.1.c
Un graphème simple est composé d’une seule lettre.
2.D.1.1.d
Un graphème complexe est composé d’au moins deux lettres pour représenter un seul phonème.
2.D.1.1.e
Certaines lettres peuvent se prononcer de différentes façons selon les lettres qui les entourent, y compris : e suivi de deux consonnes, g dur/doux, c dur/doux et s entre deux lettres voyelles.
2.D.1.1.f
Certains graphèmes complexes ne contiennent que des voyelles, y compris : ai, au/eau, ei, eu et oi, ou.
2.D.1.1.g
Certains graphèmes complexes peuvent inclure des voyelles et des consonnes, y compris : on/om, in/im, ain, ein, an/am, en/em, un/um, er, ch, ph, gn et qu.
2.D.1.1.h
Certains graphèmes complexes se prononcent d’une façon particulière, y compris : iel/ielle, oi/oin, ui, ill/ille, ail/aille, euil/euille et ouille.
2.D.1.1.i
La syllabe écrite peut être une seule lettre voyelle (V) ou une suite de lettres consonnes (C) et voyelles (V) lue sans interruption, p. ex. CV, VC, CVC, CCV, CVV.
2.D.1.1.j
Un signe orthographique associé à certaines lettres peut en modifier la prononciation.
2.D.1.1.k
Les signes orthographiques sont : le tréma, la cédille, l’accent aigu, l’accent grave et l’accent circonflexe.
2.D.1.2.a
La correspondance graphèmes-phonèmes favorise le décodage et l’écriture de mots.
2.D.1.3.a
Prendre en compte les régularités dans les correspondances graphèmes-phonèmes lors de la lecture et de l’écriture de courts textes.
2.D.1.3.b
Reconnaitre les phonèmes représentés par les lettres qui ont un signe orthographique.
2.D.1.3.c
Prendre en compte les lettres qui entourent le g, le c, le s ou le t pour en déterminer la prononciation.
2.D.1.3.d
Discuter des régularités dans des mots qui contiennent une ou des lettres muettes.
2.E.1.1.a
Les textes littéraires font appel à l’imagination et contiennent des idées ou de l’information.
2.E.1.1.b
Les textes courants contiennent de l’information qui parle du monde réel.
2.E.1.1.c
Les textes présentent des indices visuels qui permettent d’appuyer le message, y compris : la couleur, la police de caractère, les icônes, les caractères gras, le soulignement et la taille des caractères.
2.E.1.1.d
Les textes peuvent présenter des indices sonores, y compris : les sons, la musique et les jeux de sonorité incluant les rimes.
2.E.1.1.e
Les caractéristiques des textes littéraires comme le conte ou le récit comprennent : les personnages, les lieux et le problème.
2.E.1.1.f
Les caractéristiques des textes littéraires comme le poème, la chanson et la comptine comprennent : la répétition de sons, de syllabes, ou de mots et des rimes.
2.E.1.1.g
Les textes littéraires peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : le conte ou le récit, l’abécédaire, le poème et le jeu de rôle.
2.E.1.1.h
Les caractéristiques des textes courants comprennent : un sujet, de l’information présentée en catégories et des détails.
2.E.1.1.i
Les textes courants peuvent être vus, lus, entendus ou produits, p. ex. : l’imagier, le dictionnaire visuel, les règlements du milieu d’apprentissage et les règles de jeu.
2.E.1.1.j
L’organisation d’un conte ou d’un récit en trois étapes respecte un ordre : le début, le milieu et la fin.
2.E.1.1.k
Les idées d’un texte courant sont organisées en ordre.
2.E.1.2.a
Les textes numériques ou non numériques ont des caractéristiques communes qui permettent de les classer.
2.E.1.2.b
L’organisation des idées facilite la compréhension et la production d’un texte.
2.E.1.3.a
Distinguer des textes littéraires des textes courants.
2.E.1.3.b
Interpréter des indices visuels et sonores dans des textes littéraires et courants.
2.E.1.3.c
Repérer et discuter des caractéristiques présentes dans des contes ou des récits.
2.E.1.3.d
Repérer et discuter des caractéristiques présentes dans des poèmes, des chansons et des comptines.
2.E.1.3.e
Repérer et discuter des caractéristiques présentes dans des textes courants.
2.E.1.3.f
Discuter de l’organisation des idées présentées dans des textes littéraires et courants.
2.E.1.3.g
Remettre et raconter dans un ordre logique les parties d’un conte ou d’un récit.
2.F.1.1.a
Le processus de compréhension en lecture tient compte des indices porteurs de sens et comprend les étapes suivantes : la prélecture, la lecture et la réaction au texte.
2.F.1.1.b
Les stratégies qui appuient la prélecture comprennent : l’identification d’un but (intention de lecture), le survol et la prédiction.
2.F.1.1.c
La stratégie de visualisation est de se représenter le déroulement des idées ou de l’information.
2.F.1.1.d
La stratégie de questionnement est de se poser des questions pour suivre le fil et vérifier sa compréhension pendant la lecture.
2.F.1.1.e
La stratégie de faire des liens permet de voir des liens entre le texte et : les mots connus à l’oral et ses expériences personnelles.
2.F.1.1.f
La stratégie du rappel est de trouver et de combiner les idées importantes du texte pour garder l’essentiel du message.
2.F.1.1.g
Le récepteur est la personne qui écoute, regarde ou lit un texte.
2.F.1.1.h
Le récepteur peut faire des liens avec des textes.
2.F.1.1.i
Les textes de la francophonie sont des textes créés originalement en français provenant de l’Alberta, du Canada ou du monde.
2.F.1.2.a
Les stratégies du processus de compréhension d’un texte contribuent au développement de son potentiel en lecture.
2.F.1.2.b
Des textes peuvent refléter les expériences et les préférences de l’émetteur et du récepteur.
2.F.1.2.c
La compréhension d’un texte et l’intérêt qu’il suscite favorisent la motivation à lire.
2.F.1.3.a
Repérer l’information écrite et visuelle qui répond à une question dans des textes portant sur des sujets familiers, y compris des comptines, des chansons et des histoires lues à voix haute.
2.F.1.3.b
Employer des stratégies qui appuient la prélecture.
2.F.1.3.c
Décrire les images mentales qui sont évoquées par le texte.
2.F.1.3.d
S’exercer à se poser des questions pour suivre le fil et vérifier sa compréhension tout au long de la lecture.
2.F.1.3.e
Établir des liens entre ses expériences, les mots connus à l’oral et l’information apportée par le texte.
2.F.1.3.f
Faire un rappel des idées importantes de ce qui vient d’être lu, en cours et en fin de lecture.
2.F.1.3.g
Démontrer une ouverture d’esprit envers des textes provenant de la francophonie et des Premières Nations, des Métis ou des Inuits.
2.F.1.3.h
Faire des liens entre des expériences ou des gouts personnels et des textes.
2.F.1.3.i
Décrire l’intérêt que suscite un texte choisi.
2.G.1.1.
Certains mots très fréquents doivent être reconnus globalement, p. ex. : fête, ballon, manger et plusieurs.
2.G.1.1.a
Une lecture est expressive lorsque le lecteur tient compte de la ponctuation et inclut des variations dans sa voix.
2.G.1.1.b
La lecture expressive comprend la lecture par groupes de mots signifiants et ressemble à l’expression à l’oral.
2.G.1.1.c
Le niveau de difficulté d’un texte écrit peut avoir un effet sur la fluidité de la lecture.
2.G.1.1.d
L’écoute de lecteurs modèles et la lecture répétée peuvent favoriser l’amélioration de la fluidité.
2.G.1.2.a
La fluidité en lecture permet de reconnaitre et de comprendre les mots simultanément.
2.G.1.2.b
Le développement de la fluidité facilite une lecture expressive.
2.G.1.3.a
Reconnaitre et comprendre avec précision de 200 à 250 mots fréquents (incluant ceux appris en maternelle et 1re année) dans de courts textes écrits.
2.G.1.3.b
Avoir recours à divers moyens pour s’exercer à faire une lecture expressive de textes à son niveau de lecture autonome.
2.G.1.3.c
Prendre conscience de la façon dont les lecteurs modèles lisent avec expression et fluidité en français.
2.H.1.1.a
Les idées peuvent être alimentées par le vécu, l’imagination et la recherche d’information.
2.H.1.1.b
Le processus de production de texte inclut des étapes, y compris la : planification, mise en texte, correction et publication.
2.H.1.1.c
La planification consiste à élaborer un plan pour organiser des idées.
2.H.1.1.d
La mise en texte est la production d’une ébauche composée de phrases.
2.H.1.1.e
La correction est vérifier et améliorer le texte.
2.H.1.1.f
La publication est l’étape qui consiste à mettre les touches finales au texte.
2.H.1.1.g
Le partage d’un texte peut prendre plusieurs formes, p. ex. un exposé oral ou l’affichage du texte.
2.H.1.1.h
L’information peut provenir de sources variées, p. ex. : le milieu immédiat, des individus qui parlent français, des Ainés, des Gardiens du savoir, des textes produits par des membres des communautés des Premières Nations, des Métis ou des Inuits, des livres, des ressources numériques et la nature.
2.H.1.1.i
Un sujet de recherche part de questions que l’on se pose.
2.H.1.1.j
La fluidité en écriture est la capacité d'écrire lisiblement les lettres et les mots avec automaticité.
2.H.1.1.k
Les habiletés d’écriture à l’aide d’outils numériques s’améliorent avec la pratique.
2.H.1.1.l
L’alignement de l’écrit comprend le respect de l’espace, de la ligne et de la marge.
2.H.1.2.a
Les idées et le sujet d’un texte sont reliés.
2.H.1.2.b
Le processus de production de texte est une démarche qui permet de développer et d’exprimer des idées individuellement ou collectivement.
2.H.1.2.c
Le partage d’un texte permet de célébrer une fierté reliée à l’apprentissage de la langue française.
2.H.1.2.d
La recherche permet de repérer de l’information pour enrichir le processus d’écriture.
2.H.1.2.e
L’habileté à écrire lisiblement et à utiliser des outils numériques de rédaction favorise la communication des idées.
2.H.1.3.a
Prendre part à des remue-méninges pour faire ressortir des idées et des mots reliés au sujet.
2.H.1.3.b
Expliquer le lien entre les idées et le sujet.
2.H.1.3.c
Explorer des façons de planifier l’organisation des idées.
2.H.1.3.d
Expérimenter les étapes du processus de production de texte individuellement et collectivement.
2.H.1.3.e
Produire de courts textes dont les idées sont reliées au sujet, en ayant recours ou non à des modèles.
2.H.1.3.f
S’exercer à apporter des corrections au texte.
2.H.1.3.g
Mettre les touches finales au texte en soignant la lisibilité.
2.H.1.3.h
Mettre en pratique différentes façons de partager ses textes avec les autres.
2.H.1.3.i
Prendre conscience des efforts investis dans la production d’un texte et de la fierté reliée à l’apprentissage de la langue française.
2.H.1.3.j
Poser des questions précises reliées à un sujet d’intérêt.
2.H.1.3.k
Consulter au moins une source d’information en français.
2.H.1.3.l
Mettre en pratique des façons de noter la source et l’information recueillie.
2.H.1.3.m
Ajouter l’information recherchée à ses connaissances antérieures.
2.H.1.3.n
Former lisiblement les lettres et les mots en tenant compte des espaces, de la taille et de l’alignement avec de plus en plus de fluidité.
2.H.1.3.o
S’exercer à écrire des textes à l’aide d’outils numériques.
2.I.1.1.a
La phrase de base est formée d’au moins un sujet (groupe nominal), suivi d’un verbe (groupe verbal, prédicat), p. ex. Marc saute.
2.I.1.1.b
Le sujet est formé d’au moins un nom (groupe nominal).
2.I.1.1.c
Une phrase commence toujours par une lettre majuscule et se termine toujours par un signe de ponctuation, y compris le : point, point d’interrogation et point d’exclamation.
2.I.1.1.d
Le point indique que l’on exprime une idée.
2.I.1.1.e
Le point d’interrogation indique que l’on pose une question.
2.I.1.1.f
Le point d’exclamation indique que l’on exprime une émotion.
2.I.1.1.g
Un mot peut être masculin ou féminin.
2.I.1.1.h
Un mot peut être singulier ou pluriel.
2.I.1.1.i
Le singulier désigne un seul être vivant, une seule chose ou un seul endroit.
2.I.1.1.j
Le, la, un, une, les et des sont des déterminants qui accompagnent un nom commun.
2.I.1.1.k
Le ou un se place devant un nom masculin singulier.
2.I.1.1.l
La ou une se place devant un nom féminin singulier.
2.I.1.1.m
Le pluriel désigne plus d’un être vivant, d’une chose ou d’un endroit.
2.I.1.1.n
Les ou des se place devant un nom pluriel.
2.I.1.1.o
Le verbe est lié au sujet.
2.I.1.1.p
L’adjectif est un mot qui décrit le nom.
2.I.1.1.q
Les verbes peuvent être conjugués pour indiquer un temps présent, passé ou futur.
2.I.1.1.r
Les verbes avoir et être au présent changent selon le sujet auquel ils sont liés.
2.I.1.1.s
Certaines expressions usuelles sont construites avec le verbe avoir ou être en français, p. ex. j’ai sept ans, je suis grand.
2.I.1.2.a
La phrase de base communique un sens complet.
2.I.1.2.b
Les signes de ponctuation représentent l’intonation entendue à l’oral.
2.I.1.2.c
Les mots peuvent s’accorder avec les noms qu’ils accompagnent.
2.I.1.2.d
Le verbe conjugué situe le temps de la phrase.
2.I.1.3.a
Utiliser des phrases de base en se référant ou non à des modèles pour s’exprimer en contexte.
2.I.1.3.b
S’exercer à employer la majuscule pour indiquer le début et un signe de ponctuation pour marquer la fin des phrases.
2.I.1.3.c
Différencier des phrases qui expriment une idée, une question ou une émotion.
2.I.1.3.d
S’exercer à reconnaitre et à utiliser des déterminants, des noms communs, des noms propres, des adjectifs et des verbes dans des phrases.
2.I.1.3.e
Interpréter des indices qui permettent de distinguer les noms de genre masculin des noms de genre féminin.
2.I.1.3.f
Interpréter des indices qui permettent de distinguer les noms au singulier des noms au pluriel.
2.I.1.3.g
Discuter des verbes employés couramment pour déterminer s’ils indiquent le présent, le passé ou le futur.
2.I.1.3.h
S’exercer à utiliser les verbes avoir?et être conjugués au présent.
2.I.1.3.i
Repérer, en contexte, les verbes avoir?et être?conjugués au présent.
2.I.1.3.j
Discuter de l’emploi des verbes avoir et être dans les expressions usuelles.
Framework metadata
- Source document
- Grade 2 - French Immersion Language Arts and Literature
- License
- CC BY 4.0 US